1925 - La Mancha (Castilla Nueva - Espagne) :
date approximative :
Un homme a soudain rencontré un être étrange, haut de 1,20 m, vêtu d'un uniforme verdâtre. Le personnage avait des bras et des jambes rigides, un dis que dans les mains et était propulse par un autre disque sur lequel il se tenait. Le témoin l'a observé d'une distance de 2 m. Aucun mot n'a été échangé. ( Ribera - 1ère main ).
Source : LDLN Mai 1971 Quatrième série N° 2
25 juillet 1938. 23 : 30. Guadalajara (Espagne).
Un militaire et son assistant ont vu brusquement une forte lumière blanche et ils ont alors observé qu'elle venait d'un objet sombre, en forme de lentille, d'un diamètre d'environ 11 m, se maintenant approximativement à 2 m au-dessus du sol, à 60 m à peu près. Sans aucun bruit, une espèce de colonne se mit à descendre et deux silhouettes mobiles se trouvaient sur cette plate-forme. Un cercle de lumière bleue fut projeté sur le sol et se braqua sur les témoins, qui ressentirent une sensation de tiédeur. La plateforme s'éleva à nouveau. Les deux sections de l'objet ont commencé à tourner dans des directions opposées. L'ensemble a brillé d'une intense lumière blanche et
s'est éloigné en volant. Les témoins ont pensé que c'était un nouvel engin militaire des Allemands ou des Rouges. (1ère main - Oscar Rey).
Source : LDLN Mai 1971 Quatrième série N° 2
Août 1947.
J’ai vu une soucoupe volante selon le récit du Pr L. R. Johannis.
Durant la première quinzaine d’août 1947, j ’étais dans un petit village appelé Raveo, près de Villa Santina, en Camie (Friuli). Je passais une bonne partie des étés dans cette région où je suis en conséquence bien connu.
J’ai toujours été intéressé par la géologie et l’anthropologie, et je passais tout mon temps libre à étudier ces branches, mes sciences favorites, dont une part importante et indispensable est la recherche systématique de fossiles. Le matin du 14 août 1947, je me frayais un chemin une fois de plus dans la courte vallée d’un torrent de montagne appelé le Chiarsô. Cette vallée s’achève sur les pentes basses du massif central de la montagne, le Camico du Gol Gentile. J’avais avec moi un petit havresac et mon pic de
géologue.
Je suivais un chemin le long de la rive gauche du torrent
(qui était presque à sec), un chemin qui serpentait et grimpait parmi des groupes de sapins et des dépôts de rocaille et de dépôts alluviaux. Sur ma droite la masse de la montagne, qui faisait un angle de 45 degrés, culminait au loin, composée de rocs brisés par les intempéries, mêlés à des couches de gypse.
Comme j’émergeais d’un de ces groupes de sapins, je remarquai, sur la rive rocailleuse et à une distance d’environ 50 mètres de moi, un grand objet lenticulaire d’une vive couleur rouge. Je suis un peu myope, aussi me hâtai-je de mettre mes lunettes. Lorsque je fus arrivé à un endroit situé à quelques pas de la « chose », je pus établir qu’il s’agissait d’un disque — apparemment en un métal vernis semblable au métal d’un jouet ordinaire — qui avait la forme d’une lentille avec un coupole centrale (1) dénuée de toute ouverture. Au sommet, une sorte d’antenne métallique brillante, de forme télescopique, sortait, grossièrement analogue à celles que nous avons aujourd’hui sur nos voitures.
(Et ici je dois déclarer formellement que je ne savais rien à l’époque sur les soucoupes volantes et je ne pense pas que les journaux italiens aient même commencé à en parler.)
L’objet, de quelque 10 mètres de largeur, était enfoui, sur environ un quart de sa longueur, dans une grande faille transversale du roc friable de la montagne, et se trouvait à une hauteur d’environ 6 mètres au-dessus du lit du torrent.
Sans plus hésiter, je décidai de grimper là-haut pour voir ce qu’il en était, mais avant tout (et n’importe qui aurait fait la même chose) je regardai autour de moi pour voir s’il se trouvait par là quelqu’un pour m’aider, au cas où j’en aurais eu besoin.
C’est alors que j’aperçus, à une distance d’à peu près 50 mètres de moi, exactement à l’orée du groupe d’arbres dont j ’avais émergé, deux « garçons ». En tout cas, c’est ce qu’ils me semblèrent être d’abord.
Je criai dans leur direction et montrai le disque de la main. Puis je me dirigeai vers eux. Quand j ’eus fait la moitié du chemin qui me séparait d’eux, je m’arrêtai, pétrifié.
Les deux « garçons » étaient des nains, comme je n’en avais jamais vu ni même imaginé de semblables. Ils s’avançaient lentement vers moi, à tout petits pas, les mains le long du corps et la tête immobile. Quand ils furent arrivés à quelques pas de moi, ils s’immobilisèrent. Je me sentais sans
force, absolument. Il me semblait être paralysé, ou en train de rêver. Mais je continuais toujours à les observer en leurs moindres détails.
Et ces détails sont resté» imprimés en moi de façon si indélébile qu’à présent encore je pourrais faire le portrait ou la statue de ces êtres extraordinaires. Je dois toutefois confesser que le sentiment qui dominait en moi était un étonnement énorme mêlé à de la crainte, comme vous le comprendrez aisément.
Ils n’avaient pas plus de 90 cm de hauteur, et portaient des tenues de couleur bleu foncé, constituées en un matériau que je ne saurais comment décrire. « Translucide » est le seul terme qui convienne. Ils avaient un col et une ceinture plutôt large, tout cela d’une vive couleur rouge. Même les poignets et les jambières se terminaient en « cols » du même type.
Leur tête, d’après l’impression que j ’en garde, était plus grande que la tête d’un homme normal, et leur conférait un aspect caricatural. Mais je pense que la vue de leur « visage » aurait mis un terme à toute envie de rire.
Ici, je dois expliquer que les termes que j ’ai employés pour cette description ne sont que de pures indications, et d’une nature purement anthropologique, parce que je ne sais pas, même aujourd’hui, si ces choses que j’ai appelées nez, bouche, yeux et mains représentent bien cela ou s’il serait plus correct de les nommer d’une autre façon.
Ils n’avaient pas trace de cheveux, mais ils portaient une sorte de casquette d’un brun sombre et très ajustée, comme un bonnet d’alpiniste. La « peau » de leur visage était d’un vert terreux (verde terroso). La seule couleur qui s’en approche est celle de la plasticine habituellement employée par les sculpteurs ou celle de l’argile plongée dans de l’eau. Le « nez » était droit, taillé géométriquement, et très long. Dessous se trouvait une entaille en forme d’accent circonflexe, que je vis s’ouvrir et se refermer par intervalles, de façon très semblable à la bouche d’un poisson. Les « yeux » étaient énormes, protubérants, et ronds. Leur apparence et leur couleur ressemblaient à celles de deux prunes vert-jaune bien mûres (due prugne glallo-verdi ben mature).
Au centre des yeux je remarquai une sorte de « pupille » verticale. Je ne vis pas trace de sourcils ni de cils, et ce que j’aurais pu appeler des paupières était constitué par un anneau, à mi-chemin entre le vert et le jaune, qui entourait la base de ces yeux hémisphériques, tout à fait comme la monture d’une paire de lunettes.
Je restai là, ahuri, durant un temps qui me sembla interminable, à considérer ces deux extraordinaires créatures. Ce ne fut que plus tard que je pus calculer grossièrement la durée de cette attente. Je pense que la confrontation silencieuse dura à peine deux ou trois minutes. Puis j’élevai le bras qui tenait mon pic et fis un geste dans leur direction, puis dans la direction du disque, et d’une voix agitée, je criai et leur demandai qui ils étaient, d’où ils venaient, et si je pouvais les aider en quoi que ce soit. Ils pivoèrent très vite et je ne puis me rappeler ce que je dis ensuite, car les choses se succédèrent alors rapidement.
Je crois maintenant que les deux êtres ont interprété mes gestes précipités comme une menace envers eux. Mais je n’en suis pas sûr et je ne crois pas que je le saurai jamais. Ce qui est certain, c’est que l’un d’eux éleva la main droite
jusqu’à sa ceinture, et que du centre de la ceinture sortit quelque chose qui semblait être une légère bouffée de fumée. Je pense à présent que c’était un rayon ou quelque chose de semblable. Quoi qu’il en soit, avant que j ’aie eu le temps de bouger ou de faire quoi que ce soit, je me retrouvai allongé de tout mon long sur le sol. Mon pic jaillit de ma main, comme s’il avait été arraché par une force invisible.
Je n’ai eu qu’une fois dans ma vie l’expérience d’un choc électrique violent. C’était en 1924, quand j ’étais étudiant à l’Institut technique d’Udine, et que le professeur de physique nous fit tous former une chaîne et recevoir la charge d’une bouteille de Leyde.
Eh bien, je peux seulement vous dire qu’aussitôt que je fus frappé par ce rayon-fumée, je ressentis une sensation similaire. Plus même, je me sentis privé de toute énergie et tous mes efforts pour me relever impliquaient une dépense de forces qui me dépassait.
Cependant, les deux mains avançaient vers moi et s’im mobilisaient à 2 mètres de moi, là où mon pic était tombé. Je parvins à rouler sur un côté et je vis l’un d’eux s’incliner pour prendre l’outil, qui était plus long que lui-même. Et ce fut ainsi que je pus voir la main « verte » tout à fait nettement. Elle avait huit doigts, opposables quatre par
quatre! Ce n’était pas une main : c’était une griffe, et les doigts n’avaient pas de jointures.
Je remarquai aussi que la poitrine des deux êtres tremblait : comme la poitrine d’un chien qui halète après une longue course.
Je fis des efforts fantastiques pour me lever, et réussis enfin à me trouver dans la position assise. Mais il me fallait appuyer mes mains sur le sol pour ne pas retomber en arrière. Pendant ce temps les deux entités étaient arrivées sous le disque. Je les vis grimper, lentement mais sûrement, jusqu’à la faille du roc, et disparaître dans le disque lui-même, qui était enfoui presque verticalement dans la roche.
Quelques minutes passèrent encore, puis l’étrange objet fusa droit hors du rocher et s’éleva dans les airs. Une cascade de pierres et de terre tomba dans le lit du torrent. Et ce fut le seul bruit qui rompit le silence de ce lieu solitaire. Le torrent, presque à sec, coulait silencieusement sur les
pierres.
Le disque demeura immobile en l’air, comme un énorme gong suspendu. Je voyais distinctement son arête durement découpée à 4 ou 5 mètres de moi, et un moment je fus saisi de terreur à l’idée qu’il allait tomber et me couper en deux comme un ver. Je n’en suis pas sûr, mais je crois bien que je hurlai à pleine gorge. De toute façon, je suis certain que je fis tous mes efforts pour me lever et m’enfuir. Le résultat fut que je continuai à retomber sans cesse et je restai étendu, tordu par la douleur. Cependant, le disque avait abandonné légèrement sa position verticale. Puis il rapetissa soudainement, et disparut. Immédiatement après, je fus frappé par un terrible coup de vent (décompression de l’air?) qui me fit rouler avec violence sur le sol et me remplit les yeux de poussière.
J’aboutis sur les pierres du torrent et restai là pour je ne sais combien de temps. Finalement, je parvins à m’asseoir à nouveau, et c’est alors que je regardai ma montre. Il était 9 h 14.
Mais ce ne fut pas avant midi que je me sentis capable de rentrer chez moi. Dans l’intervalle, je dormis même une heure. Mes os me semblaient brisés et mes jambes étaient faibles et tremblantes, comme si j’avais pris une cuite monumentale. Je cherchai dans mon havresac ma bouteille thermos pour prendre un peu de café, et ne fus pas surpris de la trouver en miettes, mais ce qui me surprit, par contre, fut de ne plus trouver trace de son enveloppe métallique.
Disparues également étaient ma fourchette en aluminium et ma cantine, en aluminium, elle aussi, qui avait contenu mon déjeuner froid. Tout avait été imbibé de café, y compris le paquet de fiches avec des esquisses de la région, que je portais d’habitude sur moi. Je dus me contenter de pain imbibé de caféetjeter au loin le salami et tout le reste.
Finalement, je devrais ajouter que je cherchai en vain mon pic, qui m’aurait alors été bien utile comme canne.
A 2 heures de l’après-midi, j ’atteignis Raveo et me mis au lit. Je racontai à la propriétaire de l’auberge où je demeurais que j ’étais tombé d’un rocher, et elle me répondit que c’était bien fait — car il était grand temps que je cesse de vagabonder à ramasser des pierres (elle me connaissait depuis que j ’étais tout petit, plus de trente-cinq ans).
Le matin suivant, je m’armai d’un autre pic et — je l’avoue — d’un revolver, et je retournai sur les lieux. Naturellement, il n’y avait personne. Je grimpai jusqu’à la faille du rocher car je pensais que les deux créatures auraient pu y jeter mon pic —auquel je tenais beaucoup— mais je ne trouvai rien.
Je crois que mon vieux pic est à présent dans un musée sur quelque autre planète. J’espère qu’il y a là-bas quelqu’un qui essaie de déchiffrer les marques gravées dans le manche,mon nom et une devise de montagnard, ainsi que deux fleurs des Alpes et un aigle. Et j ’espère qu’ils se cassent la tête sans résultat à essayer de comprendre tout cela.
Finalement, je dois vous dire qu’à l’époque, j ’essayai d’expliquer mon étrange aventure de plusieurs façons différentes, mais aucune d’elles n’avait quoi que ce soit à voir avec des soucoupes volantes et autres engins d’origine extra terrestre. D ’abord, je pensai que la « soucoupe » était une machine expérimentale des forces alliées qui occupaient alors l’aérodrome de Campoformido, dans la région de Friuli. Ma seconde idée fut qu’il s’agissait d’un engin d’origine russe. Enfin, je me demandai s’il ne s’agissait pas de quelque civilisation inconnue encore ignorée, cachée dans une région inexplorée du monde commme le Mato Grosso au Brésil. Les hypothèses les plus absurdes pou vaient s’adapter à mon aventure extraordinaire. Mais aucune d’elles n’était satisfaisante, car aucune ne pouvait rendre compte de la présence de ces deux petits hommes.
Tout autre, dans ma position, aurait décidé que la chose sensée à faire était de ne rien dire à qui que ce soit. Et c’est bien ce que je fis, tout à fait consciemment. Je ne désirais nullement être considéré comme un visionnaire fou, ou pire, et je ne pense pas que quiconque pourrait me blâmer.
Deux mois plus tard, je partis pour New York. Durant la traversée, j’entendis pour la première fois parler des sou coupes volantes vues par Kenneth Arnold. Ce n’est qu’alors que je pressentis que j’avais vu une soucoupe volante.
Durant les cinq années que je passai aux États-Unis, je suivis avec le plus grand intérêt tous les développements de l’« histoire des soucoupes volantes », et en 1950, je décidai de relater mon expérience à deux personnes en qui j ’ai toute confiance, qui peuvent en témoigner à tout moment, et dont j’ai confié les adresses au président du Centro Studi Clipeo- logici à Turin, lequel a été assez aimable de publier mon récit.
En 1952, avant de retourner en Italie, je lus un article dans la revue hebdomadaire l ’Europeo, sur le livre de l’Américain Scully, qui parlait de deux soucoupes volantes qui avaient atterri en Amérique et qui, ainsi qu’il l’énonçait clairement,
contenaient les corps de petits hommes. J’envoyai alors de New York une lettre au directeur de l’Europeo, lui demandant de publier le récit de mon expérience qui, à tout le moins, avait le mérite d’être antérieure.
Quand, deux mois plus tard, je revins en Italie, j’allai à Milan, et j ’appelai le directeur de l ’Europeo. Là, on me dit que le sujet était intéressant mais que, si l’on voulait qu’il soit publié, il était nécessaire que je fournisse des « preuves » (!) de son authenticité.
Je répondis que si, ce matin d’août 1947, j’avais imaginé que j’allais rencontrer des créatures venant d’un autre monde, je n’aurais certainement pas hésité un instant à prendre avec moi une troupe complète de journalistes, de
cinéastes et (pourquoi pas ?) une compagnie de soldats aussi bien.
En ce qui concernait mon expérience, j’avais fait une enquête dans le village le lendemain (15 août 1947) pour demander si quelqu’un avait remarqué quelque chose qui ressemblait à un « aéroplane » le jour précédent. Deux personnes (un vieillard et un garçon) me dirent, séparément, qu’ils en avaient vu un, dans un cas à 8 h 30 du matin, et dans l’autre à environ 10 heures. Le vieillard était assis sur la place du village à se prélasser au soleil. Il remarqua un globe rouge « emporté par le vent » derrière la montagne sur la pente de laquelle se trouve situé le village. Le garçon était avec sa mère et d’autres gens, à travailler dans un champ non loin du village, et il remarqua une boule rouge (« comme celles qu’ils ont à la foire ») qui s’élevait à grande vitesse et disparut dans le ciel vide.
C’est tout ce que j ’ai pu réunir en fait de « témoignages locaux ». Il est douteux que cela ait pu avoir grand intérêt pour le directeur de l ’Europeo.
Et ainsi s’achève mon histoire. Je me contenterai d’ajouter que j ’ai été profondément dégoûté par la basse campagne de dénigrement qui s’est produite aux U.S.A. à propos des soucoupes volantes, campagne que j’ai suivie de près entre octobre 1947 et 1952. Et mon dégoût s’est transformé en amertume ici, en Europe, quand j’ai vu la légèreté énorme avec laquelle l’importante question des soucoupes volantes est traitée. Je dis « légèreté » parce que je ne considère pas comme dignes de la moindre considération des plaisanteries et les tromperies perpétrées en vue de faire de l’argent ou de la propagande médiocre.
Et je dois conclure ce bref récit par un avertissement semblable à celui qui termine le livre Flying Saucers from Outer Space du Major Donald E. Keyhoe :
« Il y a des êtres intelligents qui viennent de l’espace et qui nous observent depuis des armées, peut-être des siècles. Peut-être s’agit-il d’êtres semblables à nous. D ’autres peuvent être très différents de nous en ce qui concerne leur aspect physique (je n’ai pas de certitude sur ce point).
« Nous devons être prêts, en tout temps, à rencontrer ces êtres, et prêts à démontrer que nous sommes « civilisés ». Quand? Peut-être demain ou peut-être dans deux siècles. Nous ne savons pas. Mais il est certain que, immédiatement, à la première rencontre, nous devons leur donner l’impression que nous ne sommes pas en fait leur ennemis. Parce que, alors que nous pouvons sûrement apprendre d’eux des choses qui accroîtront notre connaissance scientifique, nous pourrions bien être traités par eux sur le même pied que des êtres inférieurs ou des sauvages.
Et nous ne pouvons nier que nos propres expéditions d’exploration « hautement civilisées » en Afrique, en Australie, en Malaisie et en Arizona, ont répondu aux pauvres flèches des naturels avec leurs balles plus mortelles. Quelle sorte de réponse pour raient donner les « gens des soucoupes volantes » à nos armes modernes? Le mystérieux pouvoir (magnétique?) qui meut silencieusement leurs appareils devrait nous donner à penser. »
Source : En quête des humanoïdes par Charles Bowen, Editons J’ai Lu - 1974
10 Septembre 1954. Un fermier qui revenait de Mouriéras (France) à la tombée de la nuit se trouva soudain face à face avec un être casqué de grandeur moyenne qui lui fit des gestes amicaux, puis s’en retourna, entra dans un buis son, et pénétra dans un objet en forme de cigare d’environ 4 mètres de long qui s’envola.
Source : En quête des humanoïdes par Charles Bowen, Editons J’ai Lu - 1974
10 Septembre 1954. Quarouble (Nord) : un ouvrier sur métal sort de sa maison parce que le chien aboie et voit un objet sombre sur les rails du chemin de fer; il pense que c’est une voiture. Puis il remarque deux petits êtres avançant vers lui, essaie de les arrêter, mais se trouve paralysé quand une forte lumière est projetée sur lui. L’objet s’envole.
Source : En quête des humanoïdes par Charles Bowen, Editons J’ai Lu - 1974
26 Septembre. A Chabeuil, Mme Lebœuf est soudain confrontée à un individu qui a l’air d’ « un enfant dans un sac de plastique, avec des yeux plus grands que des yeux humains ». L’individu entre dans une machine circulaire plate qui s’envole en direction du nord-est avec un doux sifflement.
Source : En quête des humanoïdes par Charles Bowen, Editons J’ai Lu - 1974
27 Septembre 1954. Quatre enfants de Prémanon (Jura) sortaient de chez eux lorsqu’un chien aboya furieusement. Ils découvrent un grand objet au sol et un petit être (appelé « fantôme ») qui fait des gestes amicaux. Les enfants jetèrent des pierres à l’intrus.
Source : En quête des humanoïdes par Charles Bowen, Editons J’ai Lu - 1974
1 octobre 1954, Pons (France)
Un objet en forme d’oeuf, d’un diamètre approximatif de 5,50 m, a plané et atterri près de la route. Deux nains, hauts de 1,25 m environ, en sortirent et y retournèrent presque immédiatement, puis l’engin s’éleva verticalement, en produisant une traînée rouge derrière lui.
Source : LDLN Janvier 1970 - N° 102 bis - 13e année
23 octobre 1954, 03:00, Tripoli (Lybie)
Un fermier a vu, à une cinquantaine de mètres, un engin volant descendre jusqu’au niveau du sol, en produisant un bruit semblable à celui d’un compresseur, L’engin avait la forme d’un oeuf et était pourvu de six roues ainsi que d’un ensemble de machines compliquées. Sa moitié supérieure était transparente et inondée d’une lumière blanche brillante Six hom es masqués, en survêtements jaunâtres et ayant des visages humains, étaient à bord de l’engin. Lorsque le témoin toucha une partie de l’engin, il ressentit un violent choc électrique. L’un des occupants lui fit signe de demeurer à l’écart. Le témoin a pu observer les six hommes pendant 20 minutes. Apparemment, ils s’affairaient à leurs appareils. De sérieuses recherches furent conduites (personnel).
Source : LDLN Janvier 1970 - N° 102 bis - 13e année
24 octobre 1954, Ain-el-Turck (Algérie)
Un petit homme ayant des yeux étrangement incandescents a été vu sur la côte méditerranéenne.
Source : LDLN Janvier 1970 - N° 102 bis - 13e année
24 octobre 1954, 17:30, Les Egots (France),
près de Sainte-Catherine
Un enfant a vu un homme sortir d’un engin étrange. « Ses vêtements étaient rouges et avaient l’aspect du fer, Il marchait avec les jambes raides, avait de longs cheveux et un visage poilu. Ses yeux étaient aussi grands que ceux d’une vache » .
Source : LDLN Janvier 1970 - N° 102 bis - 13e année
25 octobre 1954, 06:00, Castiglione della Pescala, près de Grosseto (Italie du Nord)
M. Ulderico Cardinali a vu un appareil en forme de disque au milieu des roseaux d’un marais, Il avait 2 m de diamètre et près de lui se trouvait un petit être, haut de 1,40 m, recouvert d’une combinaison brun jaunâtre. Cette créature pénétra à l’intérieur de la machine qui décolla à une très grande vitesse, rasant le sommet des roseaux.
Source : LDLN Janvier 1970 - N° 102 bis - 13e année
26 octobre 1954, soir, La Madière (France)
M. Aimé Boussard, 47 ans, fermier, se trouva soudain en présence d’un individu de taille normale (1,60 m) revêtu d’une sorte de combinaison avec deux lumières vert pâle de chaque côté du casque. Cet individu dirigea vers lui le rayon de deux lumières bleues, et il fut renversé en arrière, MaF3 aucun engin ne fut observé.
Source : LDLN Janvier 1970 - N° 102 bis - 13e année
27 octobre 1954, 19:30, Les Jonquerets-de.Livet (France)
Un fermier, M. Gilbert Hee, était occupé à cueillir des poires lorsqu’ils vit soudain un objet allongé avec une lumière à chaque extrémité, stationné dans un champ, Il n’osa pas examiner de près l’objet mais vit les vaches s’assembler autour de l’engin. Une minute après, les lumières s’éteignirent et le témoin, peu intéressé, rentra chez lui. Deux heures plus tard, un jeune homme de 18 ans, M. Cheradame, tomba de sa moto qui cala brusquement au même endroit. Il alerta des voisins qui virent de nouveau l’appareil. Il avait bougé très légèrement et deux occupants furent vus, Ils avaient environ 1 m de hauteur, ils marchaient d’une façon raide et leurs vêtements ressemblaient à des armures brillantes, Ils s’évanouirent brusquement et l’appareil décolla sans bruit.
Source : LDLN Janvier 1970 - N° 102 bis - 13e année
28 août 1957 - 03 : 00 - Nazare (Estramadura, Portugal).
Carlos Roja, 19 ans et une jeune fille, se trouvaient sur la plage quand ils aperçurent un objet sombre entouré d'une lumière verdâtre, à environ 200 m, au- dessus du niveau de la mer. Comme il volait au-des sus d'eux, ils remarquèrent qu'il était parfaitement circulaire. Il descendit jusqu'à 5 m au-dessus du sol à 100 m ; il comportait une petite tour et une grande fenêtre bombée de 3 m de large, au travers de laquelle on distinguait une lumière jaunâtre. A un certain mo ment, l'objet lança un rayon de lumière vert-jaune de sa base vers le sol, et descendit plus bas, environ 2 m au-dessus du sable. Après le départ de l'objet, des traces furent trouvées sur une surface de 4 mètres carrés, où des pierres et des plantes avaient disparu. (CEI, première main).
Source : LDLN Mai 1971 Quatrième série N° 2
A DANNES (Pas-de-Calais) par R. BAZIN, du C.E.P.S.
Cela se passa le dimanche de Pentecôte, 30 mai 1971, à 14:05. Mme X..., demeurant à Dannes, était en train de couper de l’herbe pour ses lapins derrière sa maison et, levant la tête de temps à autre, son regard se portait en direction de l’immense carrière de craie limitant son horizon E, dont le sommet de la colline culmine à 178 m.
Elle prit brusquement conscience de la présence d’un objet insolite, sorte de grosse masse sombre circulaire, en forme de « bassine renversée » qui semblait suspendue à proximité du sol sur le haut de la carrière (à 800 m d’elle environ).
Elle savait pertinemment que personne ne travail lait dans la carrière le dimanche et elle redoubla d’attention, d’autant plus que cet objet semblait à peine un peu moins gros que le bulldozer qu’elle avait l’habitude de voir fonctionner à cet endroit.
Poursuivant son travail, tout en surveillant l’objet immobile, elle aperçut au bout d’un long moment un petit être, à la tête démesurément grande, se dandinant à proximité de l’objet et qui semblait « flotter » plutôt que marcher.
Mme X... se rendit alors compte que ce spectacle n’était pas normal. L’être évolua un moment autour de l’objet, se baissa pour ramasser quelque chose (sans doute un morceau de craie, car il n’y a que cela en cet endroit), passa ensuite sous l’objet d’où il fut com me aspiré par l’intérieur.
A peine avait-il réintégré l’engin que celui-ci décolla sans bruit et partit aussitôt « comme une flèche » en direction du sommet de la colline, faisant avec l’horizontale un angle de 50° environ. L’objet disparut dans les nuages, l’observation avait duré 10 longues minutes.
Le témoin se rendit dans l’après-midi sur le lieu d’atterrissage en compagnie de ses proches pour y déceler quelques indices : sous la pluie qui tombait ils ne purent déceler aucune trace.
Lorsque deux ou trois semaines plus tard nous avons effectué notre enquête, Mme X... n’était pas encore remise de son émotion et elle était toujours aussi étonnée de ce qu’elle avait vu.
Après une deuxième enquête nous avons acquis la conviction que cette personne était de bonne foi. Sur les lieux le bulldozer avait enlevé une couche de craie interdisant toutes recherches.
Les enquêteurs du C.E.P.S. sont convaincus qu’il y eu là un atterrissage peu banal.
N.D.L.R. — Non que je veuille mettre en doute le fait que Mme X... ait observé un événement insolite, mais je suis toujours très surpris de l’acuité visuelle des témoins, Il semble qu’il serait nécessaire pour des observations à longue distance que la vue du témoin soit testée. D’après le plan que nous a adressé M. René Bazin, et que nous reproduisons, l’objet vu par Mme X... se situe à 800 m. Elle parle de petit être à la tête démesurément grande... A cette distance, sans aucun point de comparaison, il est bien difficile de dire si un être est petit ou grand, s’il a une grande tête et s’il a été aspiré par l’objet. L’essai est facile à faire. Je pense que Mme X... en a sûrement rajouté et que son récit d’un fait réel manque un peu d’objectivité. Disons qu’elle a vu une masse sombre, autour un personnage, et qu’elle a vu la masse s’envoler.
(Coordonnées du point d’atterrissage: 53° 34’ 46” N, 1 37’ E).
F. L.
Source : LDLN Mars 1972 - 15e année - Cinquième série - N°1