Généralités : qu'est-ce qu'un appareil photo ?

Anatomie sommaire d’un appareil photo

 

Tous les appareils photo sont constitués des
mêmes éléments de base : un boîtier
opaque sur lequel se greffent, d’un côté,
un objectif et, du côté opposé, soit un système
destiné à recevoir et à guider le film
pour les appareils « argentiques » ,

soit un capteur CCD et un
système de stockage des images pour les
appareils numériques.


Lorsqu’on appuie sur le déclencheur de
l’appareil pour prendre une photo, on
ouvre l’obturateur afin que la lumière, passée
à travers l’objectif, puisse impressionner
la pellicule. Pour réaliser une image correctement
exposée quelle que soit l’intensité
de la lumière, le photographe peut modifier
le diamètre du diaphragme, logé dans
l’objectif, et jouer ainsi sur la quantité de
lumière entrant dans l’appareil (on parle
communément de « l’ouverture ») ou

intervenir sur la vitesse de fonctionnement de
l’obturateur afin de moduler la durée de
l’exposition. En dernier lieu, le photographe
doit affiner la longueur focale pour
obtenir une image nette et faire ainsi la
mise au point.

 

 

Les optiques


Il existe un vaste choix d’objectifs ayant
chacun une utilisation spécifique.


- De 18 à 24 mm : plutôt destinées aux
couchers de soleil, aux paysages ou aux
prises de vue en intérieur lorsque le recul
est insuffisant, ces optiques offrent une très
grande profondeur de champ mais nécessitent
un cadrage soigneux, en particulier si
des lignes verticales sont présentes dans la
composition.
L’angle de vision de ces objectifs, aussi
appelés « grands-angles », couvre un
champ plus large que celui des objectifs de
focale normale et varie de 100° à 83°.


- De 25 à 35 mm : c’est dans cette caté-

gorie que l’on trouve les objectifs les plus
faciles à utiliser ; on s’en sert généralement
pour réaliser des reportages et même de la
macrophotographie. Leur angle de champ
varie de 82° à 62°.


- De 40 à 58 mm : on trouve les objectifs
standards. Ils ne figurent pas parmi les plus
pratiques, mais restent performants pour
les photographies, sans flash, de sujets faiblement
éclairés. On les utilise également
pour les portraits ou les nus. Il existe une
catégorie d’objectifs de 50 mm spécialement
adaptés à la macrophotographie.
L’angle de champ de ces optiques varie de
57° à 41° et correspond à celui de la vision
humaine.


-  Au-delà, les téléobjectifs sont des
objectifs dont la focale est supérieure à
58 mm et dont l’angle de champ est inférieur
à 40°. La profondeur de champ étant
plus réduite qu’avec les focales normales,
la mise au point doit être faite avec précision.
Les 60 à 100 mm sont parfaits pour
les portraits, ou les prises de vue à distance.
Leur angle de champ varie de 36° à
20°. De 135 à 300 mm, les téléobjectifs
peuvent mesurer une vingtaine de centimètres
et peser un bon kilo ! L’angle de
champ couvert par ces optiques est de 18°
à 8°. Enfin, de 400 à 2 000 mm, on trouve
les longs téléobjectifs, réservés par leur prix
aux professionnels ou aux amateurs avertis.
Souvent lourds et encombrants, ils sont
indispensables pour photographier des
sujets éloignés de 100 ou 200 mètres.

 

 

Généralité sur les APN et les orbes

 

Quel APN choisir pour capturer des orbes?

 

 

En règle générale tous les APN (Appareil Photo Numérique) sont aptes à prendre des anomalies, depuis les plus petits compacts aux puissants reflex experts et/ou professionnels selon les classifications des différents fabricants.

 

Il n'est pas nécessaire de posséder un APN reflex coûteux pour prendre des orbes et des phénomènes associés aux orbes.

 

Un APN compact suffit. De nos jours les programmes internes aux APN compacts sont largement étendus et offrent des possibilités similaires en programmation aux APN reflex. Ce qui fait la vraie différence est la taille du capteur et les objectifs interchangeables qui peuvent être montés sur les reflex. (Récemment la firme Sony a initié des APN compact révolutionnaires pouvant être doté d'une large gamme d'objectifs de grande qualité, du coup la frontière entre reflex numérique et compact devient de plus en plus étroite) Sur le plan des programmes un APN compact moderne n'a rien à envier à un reflex.

 

Vous y trouverez des balances des blancs complètes, des gammes de programmation complètes adaptées pour tous les styles de prise de vue, des flash réglables en intensité selon une échelle négative et positive. Et summum de la perfection des fabriquants proposent même des localisations GPS des photos prises permettant de retrouver par la suite aisément un endroit que l'ont souhaite revoir. C'est une option très pratique pour tous les enquêteurs.

 

Néanmoins il y a une frontière chronologique dans ces APN compacts très peformants. Ont évitera donc les APN compact d'avant 2007 qui n'offrent pas toutes les possibilités que l'ont rencontre sur les compacts fabriqués après cette date.

 

Si nous prenons par exemple un Konica Minolta compact de 2002, ont sera alors en possession d'un APN ne permettant pas d'être très à l'aise dans la chasse aux orbes, bien qu'un APN de cette génération puisse en capturer. Mais vous serez très limité dans vos expériences photographiques et vous n'aurez guère de champ libre en réglage de la sensibilité, de la lumière, du flash, etc.

 

Depuis les compacts offre les mêmes avantages informatisés que les appareils de haut de gamme, une fois de plus la différence réside essentiellement dans les capteurs et la qualité des objectifs. Il existe même une gamme de compacts "tout terrain" ce qui était auparavant le fief des hauts de gamme réputés "increvables" sur le terrain!

 

Donc à moins d'être un passionné de photographie, et avoir le plaisir d'avoir un boîtier professionnel aux finitions, aux capteurs et aux objectifs de haute qualité, un compact actuel de moins de 300 euros de moyenne sera très largement suffisant pour obtenir de très belle photographies d'anomalies, mais aussi paranormales ou de nature ufologique.

 

Avec une base de résolution portée entre 10 et 12 Mpx (mégapixel), voir 14 Mpx comme le Samsung CL80 de moyenne pour les APN compact, tout un chacun peut obtenir des photos de qualité des orbes et en tirer quelque chose pour les analyses.

 

L'avenir des APN verra très probablement l'apparition d'un nouveau type de photoscope qui sera l'évolution des compacts et des reflex actuels, dont les concepts d'utilisation remonte à l'argentique mais dont les catégories ne correspondent plus aux avancées et possibilités technologiques.

 

Notons au passage qu'il a circulé ici et là une opinion erronée selon laquelle les APN reflex experts ne prenaient pas ou presque pas d'orbes. Ceci est faux. Les boîtiers experts peuvent prendre également des anomalies. L'exemple du Pentax K-7 APN reflex expert extrêmement bien noté par la critique en est l'exemple même. Il peut prendre de magnifiques photographies d'orbes, et ce, malgré un flash rehaussé en hauteur sur le boitier.

 

L'une des critiques des orbo-sceptiques est que les orbes sont dans tous les cas des particules qui donnent des effets curieux sur les photos en raison de la proximité immédiate du flash par rapport à l'objectif comme c'est le cas sur les compacts. Avec le K-7 le flash est loin de l'objectif, et avec des flash additionnels que l'ont peut placer sur trespied, et avec lesquels ont peut prendre aussi des orbes, et ce malgré le fait que le flash peut être très éloigné de l'objectif, cet argument orbo-sceptique rencontre ici une faille importante.

 

Conclusion :


Si vous désirez vous lancer dans la chasse aux anomalies, aux orbes, aux phénomènes inexpliqués que l'ont peut rencontrer sur le terrain, un simple compact aux normes actuelles suffira très largement, et vous pourrez tenter avec votre compact toute sorte d'expériences photographiques.