Les Conférences publiques du Réseau des Orbes

Dîners-débats orbologiques & Conférences publiques

Echanges conviviaux entre passionnés -  Tous droits réservés
Echanges conviviaux entre passionnés - tous droits réservés

Le Réseau National des Orbes plus connu sous le nom de R.D.O. ou Réseau des Orbes organise en France dans différentes villes des dîners-débats orbologiques et des conférences qui sont ouvertes au public et aux membres du R.D.O.

 

Les dîners-débats et les conférences sont toujours suivies d'un débat puis de "travaux pratiques" par une sortie où les convives pourront utiliser leurs APN (Appareils Photos Numériques) et prendre des orbes et d'autres phénomènes connexes.

 

En général ces manifestations se déroulent en soirée aux alentours de 19h30 selon les conférenciers.

 

Les conférenciers sont choisis parmi les I.R.N. du Réseau National des Orbes où parmis des spécialistes reconnus ayant publiés dans différents dommaines.

 

 


LES ORBES ET LA TECHNOLOGIE 3D

Dîner-débat du samedi 11 décembre 2010 à 19h30 - Paris

Par Jonathan Giné
Fondateur du Réseau des Orbes

 

Mesdames et Messieurs, Chers amis,

J’ai rencontré le phénomène des orbes pour la première fois de ma vie dans la nuit du 3 au 4 août 2007 à Rennes-les-Bains lors d’un voyage pour visiter les lieux où avait vécu le célèbre Abbé Bérenger Saunière dans l’affaire de Rennes-le-Château.

Ces étranges pastilles vertes étaient apparus dans l’écran LCD de mon APN d’alors un bridge fixe en pointe à l’époque : le Sony F 828 qui avait bénéficié d’une optique Carl Zeiss exceptionnellement lumineuse et réussie pour un boîtier de ce type, qui plus est permettant de prendre des photos à 8 megapixels de belles factures en toute condition.

Ces premiers orbes apparaissent au-dessus de la Sals en nombre se partageant en deux groupes de couleurs ; des orbes verdâtres majoritairement présents et des orbes de couleur ocre en moindre nombre. Ils étaient tout autant en apparence au sol, au-dessus de l’eau que dans le ciel où sur les façades des maisons. De même quelques essais en ville permirent de constater la présence de ces orbes.

A cette époque j’ignorai tout des orbes et j’étais même en colère de voir qu’un APN si coûteux d’un prix de 1000 euros à l’achat donnait des imperfections à l’image. Mais très vite je me suis rendu compte que ces anomalies n’étaient pas du à l’APN. Interrogeant des personnes sur place elles me répondirent sans rire qu’il s’agissait des Mitounes qui sont des êtres élémentaires vivant près des cours d’eau de l’Aude et que j’en avais sur mes photos.

Intrigué par mes clichés de retour à Paris j’appelle Joël Mesnard qui m’informe que je venais de prendre des orbes comme ont en prend régulièrement au Col de Vence.

Ce fut le déclic d’une passion et de la volonté d’aller plus loin.

La suite vous la connaissez tous je fonde le Réseau des Orbes qui est une organisation de fait regroupant des témoins, des enquêteurs et des chercheurs, travaillant ensemble pour essayer de connaître la vérité derrière les orbes, du moins de l’approcher.

Et attenant au Réseau des Orbes le « orbs survey program » (littéralement programme d’enquête des orbes)  dont le but est de collationner un maximum de documents sur une période de dix ans à compter de 2007, afin ensuite de mener des statistiques sérieuses, des études approfondies sur les photographies et les témoignages.

La surprise a été de constater que les orbes s’accompagnent de toute une catégorie de phénomènes collatéraux que nous nommons les « connexes » c'est-à-dire : des phénomènes lumineux ressemblant à des serpents ou des serpentins selon les cas, des CNI  terme très générique pour désigner des phénomènes qui ressemblent à des insectes ou à des oiseaux mais qui n’en sont dans certains cas probablement pas et qu’aux Etats-Unis ont nomme des « insects-UFO », des B.V.I.s  de loin le plus étrange des phénomènes se présentant comme une sorte de brouillard dont l’organisation complexe élimine le brouillard habituel où l’exhalaison de gaz carbonique par temps froid, un phénomène qui est présent en toute saison, des « bâtons lumineux » de différentes couleurs (notamment bleus, roses, vert) et différents phénomènes lumineux que l’ont classera comme au temps d’Aimé Michel dans les M.O.C.   L’observation des orbes et des phénomènes connexes se fait essentiellement de manière nocturne ou en milieu sombre, mais il existe des exceptions en diurne. Evidemment la veille observationnelle conduit aussi nos membres à prendre en photo ce que l’ont nomme des OVNIs.

Depuis la situation a évolué il existe des témoins dont le nombre va croissant affirmant voir en contact visuel ces phénomènes, qui pourraient les faire matérialiser par concentration ou par une simple méditation.

Nous avons fondé une nouvelle discipline l’orbologie qui essaie de trouver ses marques aux côtés des grands autres sujets de l’inexpliqué que sont l’ufologie et le champ du paranormal, de la parapsychologie. L’orbologie pourrait être comparée à l’astronomie par les ramifications qu’elle se doit d’avoir afin de bien couvrir son sujet. Tout comme l’astronomie est au confluent d’autres disciplines comme la biologie, la chimie, la radioastronomie, etc. L’orbologie est au confluent des techniques et des disciplines suivantes :

Pour les techniques : la photographie tant argentique que numérique, la vidéo, la prise de son, la technologie infra rouge, les robots et les drones. Pour les disciplines scientifiques : l’astronomie, la géologie, l’entomologie, la météorologie et la zoologie, pour les spécialisations aux limites de la science et de l’inconnu : la parapsychologie et le champ du paranormal, l’ufologie, le spiritisme, la cryptozoologie. Vous l’aurez compris quand ont étudie sérieusement les orbes nous avons besoin de toutes ces compétences pour pouvoir identifier une photo où pour essayer d’isoler un phénomène qui résistera au faisceau des explications.

Avec le domaine des orbes nous marchons également sur des œufs c’est le domaine le plus décrié et le plus attaqué de toute part par les orbo-sceptiques qui se rangent dans tous les champs d’acquisition de connaissance qu’ils soient scientifique ou non reconnu comme l’ufologie. C’est un des rares domaines de l’inexpliqué où il arrive à avoir une véritable union sacrée, union contre nature entre des zététiciens, des ultra rationalistes et des ufologues et des passionnés de paranormal qui rangent les orbes de manière définitive dans le domaine des poussières et des particules qu’il faut enterré et oublié sous peine de lancer un discrédit total sur toute l’ufologie ou le paranormal. Ont pourra rétorquer qu’au vu de la situation de l’ufologie actuelle et du paranormal ils n’ont pas besoin des orbes pour risquer d’être discrédité. Toute la littérature des lunatic –fringe, et de bien d’autres mouvements fait un tort considérable à la recherche sur les OVNI et détourne d’elle de nombreux scientifiques dont elle aurait pourtant le plus grand besoin. Alors les orbes pensez vous, c’est le parent pauvre de toute la sphère de l’inexpliqué ! des poussières qui gênent les yeux de beaucoup.

De plus le domaine des orbes commence à être interprété par des mouvements issus du New Age californien comme cette conférence de Sedona en Arizona avec un titre très orienté « The Prophets Conférence Sedona » qui appuyé par quelques scientifiques comme le Pr. William Tiller, le Pr. Klaus Heinemann qui sont au demeurant des scientifiques peu connus et n’ayant pas publié de travaux fondamentaux reconnaissaient aux orbes un caractère paranormal et des tas d’attributs divers dont de guérison. Mais tout ceci ne peut que nuire en effet à la recherche positive et impartiale sur les orbes.

La problématique de l’étude des orbes repose essentiellement sur deux supports : la photographie et la vidéo. Le tout appuyé quelquefois par des témoignages directs de contact avec le phénomène.

Ces supports sont fragiles dans le sens où une photo peut être trafiquée, truquée surtout à l’ère du numérique où il est très facile de créer des faux pour reprendre un terme anglo-saxon à la mode très inélégant dans la langue française « des fakes » Pour s’assurer de la validité d’un phénomène il est nécessaire d’établir des enquêtes de terrain avec plusieurs personnes, et de constater par nous même les phénomènes en compagnie des témoins. Le phénomène ne se réduit pas à quelques anomalies sur une photo prise au hasard, il peut se manifester sur grande échelle et avec une rare intensité comme c’est le cas chez une famille de l’Isère.

La plupart des personnes sont de bonne foi et demandent des explications sur la présence d’orbes notamment dans des contextes qui peuvent être impressionnants comme ce grand père qui se demandait ce que venait faire un orbe lors du baptême de sa petite fille à l’église, où comme cette dame qui était littéralement obsédée par des orbes qu’elle ne voulait plus voir sur ses photos semblant être sur elle, et dont elle ne supportait même plus l’idée.

Enfin l’argument massue des sceptiques de tous les camps qui donc vont déclarer « vous perdez votre temps avec des particules de poussières alors qu’il y a tant à faire ailleurs et de plus vous prenez la responsabilité de discréditer tout le champ de l’inexpliqué avec vos poussières », donc cet argument des poussières doit être également pris en compte.

Et que dit cet argument ? qui est d’ailleurs pas faux car nous sommes bien entouré de poussières au quotidien, mais la poussière n’explique pas tout comme nous allons le voir. Comment un APN peut prendre en photo des poussières ? Rien de plus simple en effet.

Quand vous prenez une photographie au flash il y a une zone de quelques cm autour de l’objectif où toutes les particules de poussières présentes seront illuminées et apparaîtront sous forme de cercles, au-delà de cette zone les particules n’apparaissent plus car elles sont trop petites pour être captées par l’appareil photo. Les poussières apparaissent quand elles sont hors focus de l’APN.

Un exemple concret : une particule de poussière à 3 cm du flash de l’APN sera rendu en photo 8 fois plus lumineuses qu’une autre particule qui elle sera situé à 9 cm du flash. Tout dépendra de l’illumination du flash et de la distance de la particule au flash et à la lentille de l’objectif bien sur. L’autre argument est de dire que le flash est à proximité immédiat de l’optique donc pas étonnant que toutes les poussières deviennent des orbes par illumination et effet de défocalisation.

Mais il y a de nombreuses exceptions troublantes à cela : ceci n’explique pas les photos d’orbes pris de nuit sans flash et sans aucune lumière extérieure pouvant illuminer une particule supposée dans l’environnement. De même il existe des orbes pris de jour sans flash et sans condition particulière d’éclairage. Cela pose un problème non résolu par l’explication ci-dessus qui pourtant est correcte mais qui a des faiblesses par rapport à ce type de photographies. La video infrarouge est encore plus intéressante : si ont voit en effet des particules de poussières et d’éléments divers flotter et se déplacer dans une maison où en extérieur, par contre comment expliquer des orbes qui sont pris tout a coup d’une folle vitesse ascensionnelle qui stop en pleine course, change de direction et ce  à plusieurs reprise, laissant pantois l’observateur qui à l’impression de voir un vrai « mini aéronef » se déplacer devant lui. Une poussière ne peut avoir ce comportement là, et qui plus est en milieu clos. Les arrêts et les décélérations progressives montre au contraire quelque chose qui semble « naviguer » dans l’air de manière non aléatoire.

Il y a aussi ces fameux « batons lumineux » qui ont été pris en vidéo IR  à plusieurs reprises et dont l’explication rationnelle n’est pas encore trouvée. Un entomologiste et photographe professionnel à même donné son avis sur ce phénomène : en aucun cas cela peut être ici un insecte en vol je ne sais pas ce que c’est déclarait-il.

C’est pour ces raisons qu’il ne faut pas trop vite refermer le dossier des orbes et qu’il faut isoler le bon grain de l’ivraie.

Or comment faire pour différencier en photographie les poussières des vrais phénomènes, et également estimer leur distance. Disons le tout de suite sur une photographie classique en 2D qu’elle soit argentique ou numérique il est difficile de différencier un orbe en tant que phénomène inexpliqué et il est impossible de déterminer la distance d’un orbe même en présence de référentiel, car par définition le témoin (à de rares exception près) ne voit pas le phénomène, et par conséquent pour l’enquêteur il n’est pas possible de déterminer la distance du phénomène au photographe et le resituer dans l’environnement. Nous avions fait quelques essais mais en vain en raison du fait que les paramètres fondamentaux étaient totalement arbitraires donc c’est ici une mission impossible.

Mais heureusement grâce à l’avancée obtenue par des ingénieurs Japonais nous allons être en mesure de pouvoir enfin faire le tri de manière positive entre les poussières et les phénomènes authentiques : c’est par l’arrivée de la technologie en 3D dans la photo numérique que cela va être possible conjugué à des appareils photographiques utilisant le procédé de visée stéréoscopiques. Ce type d’APN qui arrive tout juste sur le marché européen va devenir un véritable outil de travail en orbologie, et de manière plus large dans tout le champ de l’inexpliqué.

Cet APN révolutionnaire c’est la maison FUJIFILM qui l’a créé et à pour nom le Fine Pix REAL 3D W3. Il existait auparavant un modèle W1 mais encore imparfait. Ce présent modèle atteint la maturité technologique et va permettre de travailler rigoureusement.

Cet APN reconstitue le procédé de vision humaine de manière très ingénieuse. Nos yeux captent les ondes lumineuses réfléchies par tous les corps autour de nous et cela est transformé en information dans notre cerveau via le nerf optique. Or vous savez que l’œil droit et l’œil gauche ne transmettent pas les mêmes informations. Ceci est du à l’écart moyen entre nos deux yeux qui est de 65 millimètres. Cet écart se traduit par le fait que nos deux yeux n’ont pas le même point de vue et voient un sujet selon deux perspectives différentes. Le cerveau analyse ses différences puis en créé une synthèse que l’ont appelle en science « la fusion stéréoscopique ». Vous pouvez faire l’expérience très facilement de cette différence de perspective entre les yeux, placez un doigt ou un crayon devant vos yeux bras tendus, et fixé le crayon ou le doigt. Fermez un œil, puis l’autre, vous verrez l’arrière plan changer de perspective, le crayon n’étant pas sur la même perspective selon vos yeux.

Fujifilm a donc crééer un APN qui reconstitue notre vision avec ces perspectives différentes pour ensuite les fusionner comme le fait notre cerveau, comment est ce possible ?


Ils ont utilisés deux objectifs identiques dont la focale fournit une perspective proche de celle de nos yeux. L’entraxe des objectifs doit être aussi proche de l’écartement inter pupillaire moyen c'est-à-dire 65 mm, réaliser avec les photos de droites et de gauche une fusion autrement dit un stéréogramme de qualité. En ayant fixé l’entraxe des objectifs à 75 mm cet APN permets de synchronisé parfaitement les deux blocs optiques pour filmer également en 3D ce qui est révolutionnaire d’un point de vue technologique.

Cela étant les ingénieurs Japonais n’ont fait qu’adapter à la technologie numérique un procédé qui fut inventé en 1839 par Daguerre à Paris et Fox Talbot à Londres. C’est David Brewster qui fabrique le premier vrai appareil photo à deux objectifs stéréoscopique. Un procédé montré en 1850 à la Reine Victoria qui sera enthousiasmée de cette invention permettant de voir le monde en relief. La commercialisation est le fait des autrichiens comme Voigtländer qui dès 1853 vend au public des appareils stéréoscopiques permettant le relief autrement dit la 3D.

Vous l’aurez compris le W3 permets du coup de réaliser des couples stéréoscopiques directs par l’usage de ses deux zooms périscopiques 35-100 mm f :3,7-4,2 distants de 75 mm débouchant sur deux capteurs distincts de 10 MP.

Avec un tel APN il est donc possible non seulement d’identifier un véritable phénomène d’une poussière proche des objectifs, mais aussi d’en estimer la distance correctement par le couple stéréoscopique qui sera fusionné en une seule image devenant 3D.

Pour cela rien de plus simple.

Vous prenez votre photographie comme vous en avez l’habitude, puis vous la visionner par l’écran LCD très performant du W3 qui es constitué d’un réseau prismatique évitant l’usage des fameuses lunettes permettant la vision directe en 3D. Vous avez donc des orbes, il suffit de fermer un œil puis l’autre pour examiner la photo. Si l’un des orbes apparaît puis disparaît lors de cette opération alors c’est une particule de poussière qui est bien visible à quelques cm voir moins de l’objectif. Si en revanche l’orbe persiste et s’inclus parfaitement dans le paysage, alors il est éloigné d’une distance pouvant aller jusqu’à plusieurs mètres de votre objectif et exclu donc une poussière ou particule en suspension.

C’est ici une véritable révolution pour l’étude et la recherche sur le phénomène des orbes.

Des membres du groupe britannique para science ont fait déjà des expériences avec le modèle antérieur le W1 et ils ont publié les résultats dont je cite ici les données :

Sur 1870 paires d’images stéréoscopiques, 630 photos stéréoscopiques présentent des orbes, sur ces 630 photos 491 présentent des orbes uniquement soit sur l’image de droite soit sur l’image de gauche, ce qui correspond à de simples poussières, seule 139 paires de photos stéréo montrent des orbes présents sur les deux images gauche et droite. Donc un phénomène réel présent sur 139 photos stéréoscopiques situées loin de l’objectif.

Le site en question est d’emblé sceptique sur les orbes et au passage ils élucident de manière un peu rapide à nos yeux les fameux serpents par des photos de la courroie de l’APN… et les BVI par de simples condensations du souffle de l’opérateur. Ils ne tiennent pas compte ici des BVI prise en plein été par forte chaleur et temps sec, et des « serpents lumineux » pris en plein ciel ou au sol qui ne provient aucunement de la courroie de l’APN.

Nous allons reprendre ces études puisque c’est à notre tour d’avoir été sur le RDO doté avant tous de cet APN de type W3 et de voir ce qui se passe. D’ailleurs comme le signalé l’équipe de photographes japonais d’Akihabara de retour de Tokyo où fut présenté le W3 en Août de cette année. Il est bien signalé que le W3 n’a plus rien à voir avec le précédént, la machine corrigeant les erreurs du W1 modèle antérieur mais imparfait. Du coup il devient nécessaire de revoir toutes les expériences faites par le groupe anglais de para-science.

Reste le problème des supports de visualisation : le W3 possède un écran LCD qui à lui seul évite d’utiliser des lunettes spéciales comme nous l’avons vu et l’usage d’un écran d’appoint. Se pose également le problème de l’impression de ce type de photo.

Cet APN est compatible avec tous les téléviseurs de type HD 3D (HDMI) et Fuji a créé une tablette video spécialement conçu pour le REAL 3D W3.

Enfin pour conclure cet APN permets également de produire des photos en 2D et se prête tout particulièrement à toutes sortes d’expériences photographiques avec une véritable simplicité : par exemple il est possible de prendre deux prise de vue en deux rendus colorimétriques différents où une prise de vue simultanée en deux sensibilités ISO différentes. Ceci pour l’étude des anomalies et des orbes est quelque chose de très appréciable.

Je vous propose donc de visualiser ici quelques photos en d’orbes en 3D pour constater les différences avec la photo classique non stéréoscopique.

Tous droits réservés
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                                           Deuxième partie

                                      La T.C.I.  photographique


Voici un terme bien audacieux, je ne vais pas faire ce soir l’historique de la TCI et de ses méthodes, vous êtes tous au fait de cela. Je vais donc vous exposer directement des faits.

Au cours de nos séances de photographies depuis 3 ans sur le Réseau des Orbes il nous arrivait d’avoir ce que l’ont appelle des orbes à visage encore appelés des orbes faciaux. Il s’agit d’orbes dans lesquels ont reconnaît clairement  un visage, voir la tête d’un animal ou un objet.

Il existe déjà sur Internet ce concept depuis au moins 2005 qui a été expérimenté par des personnes mais elles étendent cela à toutes les formes aléatoires existantes, pour  nous au Réseau des Orbes nous qualifions de TCI photographique que les visages clairement formés excluant tout hasard des formes et seulement eux afin d’éviter des confusions et des pistes erronées avec de simples formes aléatoires obéissant au  principe de Pareidolie.

 

 


Cette idée est née simultanément chez un enquêteur et expérimentateur de notre société qui est Dominique (Jack) et chez moi même en participant à la  journée porte ouverte de l’I.F.R.E.S.

En observant attentivement les résultats obtenus avec le Module par l’équipe de l’IFRES j’ai compris que nos orbes avec des visages clairement définis étaient semblables à ces entités que l’ont nous montraient, et que par conséquent, il y avait quasiment à l’insu du  photographe une T.C.I. avec ces entités.

Cette forme de T.C.I. est la plus simple qui existe il suffit de posséder un appareil photo et de prendre des clichés. Vous obtiendrez tôt ou tard ces visages qui semblent vous regarder depuis un autre monde.

Maintenant comment expliquer que sans rechercher de T.C.I. faites habituellement de manière volontaire et en utilisant soit des magnétophones, soit des tubes cathodiques ou d’autres matériels, celle-ci se fait de manière naturelle sans en avoir conscience.

Etant donné que nous sommes confrontés à ce phénomène nous avons défini un protocole tout simple pour obtenir cette fois ci volontairement ce type d’orbe qui contient une entité dont le visage apparaît quasiment en relief avec des détails surprenants.

 

 

Croquis sur l'expérience de la  TCI photographique - DR
Croquis sur l'expérience de la TCI photographique - DR
TCI photographique - Sandrine66  tous droits réservés
TCI photographique - Sandrine66 tous droits réservés

Pour ce protocole il faut disposer d’un APN de n’importe quel type, de choisir une photo d’un être cher disparu ou d’un anonyme dont vous possédez la photo, vous pouvez aussi utiliser la photo d’un animal disparu. Cette photo sera à une distance que la personne estimera par intuition la bonne. Car ici ont ne peut fixer de règles précises.

Ensuite il faut faire le vide en soi, se concentrer quelques instants sur la personne ou l’animal, puis demander avec le plus grand respect à la personne ou l’animal de se manifester.

Selon vous êtes croyants vous pouvez terminer la séance photo par une prière pour le repos de cette âme désincarnée ou si vous êtes athée par quelque chose qui évoquera le respect selon votre choix.

Les résultats seront significatifs peut être pas la première fois mais peu à peu. Nous avons des membres du Réseau des Orbes qui ont expérimentés cela avec succès.

Et je vous invite ici à découvrir dans ce document que je vais vous faire passer quelques visages significatifs obtenus en photographie, dont les traits et la forme sont reconnaissables sans l’ombre d’un doute. Mais comme je le disais plus haut la TCI photographique ne prend pas en compte les formes aléatoires qui ne sont pas assez précises et organisées pour emporter l’adhésion.

Je vous remercie de votre attention.


Deuxième dîner débat orbologique du Samedi 22 Janvier 2011

Les Mystères de la Forêt d'Orient et l'énigme des orbes par Claude Burkel

Monsieur Claude Burkel
Monsieur Claude Burkel
Claude Burkel présentant un détecteur dorbes qu'il a conçu sur ses travaux sur les hautes fréquences
Claude Burkel présentant un détecteur dorbes qu'il a conçu sur ses travaux sur les hautes fréquences

Compte rendu du dîner débat orbologique :


Le dîner débat orbologique a réunie pour cette deuxième édition plus de 20 personnes la majorité provenant du Réseau des Orbes mais il y avait également des membres de l’I.F.R.E.S., des personnes provenant du site la Taverne de l’Etrange de notre ami Tyron29, et du public intéressé par le sujet de la conférence.

Nous recevions monsieur Claude Burkel un enquêteur qui depuis plus de 40 étudie les OVNIs et nous fait partager sa passion pour la forêt d’Orient dont l’ombre des chevaliers aux blancs manteaux semble encore présente.

La conférence a commencé à 19H30 et s’est terminé à 22H40

Claude a fréquenté de grands noms de l’étude du Mystérieux Inconnu comme l’explorateur Robert Charroux, mais aussi l’un des pionniers de l’ufologie Jimmy Giueu qui sortie en France le premier livre consacré aux OVNI «Black-Out sur les soucoupes volantes» qui reste une référence, Raymond Veillith le fondateur de la revue et du célèbre groupement Lumières Dans La Nuit.

La forêt d’Orient située dans l’Aube a été explorée et mis en valeur pour la première fois par l’Ordre des Templiers dont les commanderies étaient nombreuses à proximité du site. Une «maison des Templiers» est encore présente et elle a été transformée en relais de chasse.

Ce lieu mal connu des «jeunes» est un haut lieu énigmatique au même titre que le Col de Vence en France. Il est possible d’y entendre les bruits d’une activité souterraine dans la nuit, de nombreux OVNIs et de multiples lumières inexpliquées sont régulièrement vues et des orbes nombreux sont présents dans la forêt.

Une grande enquête avait réalisée par Claude Burkel sur place qui lui a valu quelques moments de frayeurs mémorables au contact de l’inconnu sur place et non derrière un PC,  comme le souligne avec force notre conférencier : il est important de passer plus de temps sur le terrain que de «blablater» sur Internet, le mystère de salon n’a rien à voir avec le contact avec l’inexpliqué, et le mystère de salon ne prouvera jamais rien. Seules des enquêtes rigoureuses et appuyées par des groupements reconnus et sérieux ont de l’importance pour faire bouger les choses. De plus il insiste sur les expérimentations pas seulement photographiques mais faisant entrer en ligne de compte la physique nécessaires si ont veut avancer. (Note c’est bien à cela que s’emploie le R.D.O. inlassablement, les E.P. photographiques ont leur limite, faire voler des plumes, des pollens, des poussières pour les différencier du reste c’est bien gentil mais ce n’est pas suffisant étant donné que le phénomène des Orbes montre des formes similaires aux poussières et particules, pour les différencier il faut aller plus loin, et faire intervenir tout un faisceau d’instruments et de notions en physique).

La transmission de la vraie expérimentation, expérimentation signifie mie en oeuvre d’instruments et de principes scientifiques reconnus, le fait de prendre des photos n’est pas une expérimentation en soi mais constitue un témoignage de quelque chose à approfondir).

Claude Burkel ne cache pas que la route vers la vérité est semée d’embuches, qu’il a eu beaucoup d’ennuis car allant trop loin il arrive qu’un jour ont essaie de vous dissuader de continuer vos recherches. Qui? gouvernement? agence? autre? personne ne sait exactement mais le fait que les ennuient peuvent arriver un jour. Jimmy Guieu a connu cela de manière très forte dans une période de sa vie.

Il existe nous expose Claude Burkel une porte temporelle dans la forêt d’Orient, une porte qui s’ouvre à une date et une heure précise, en un lieu tenu caché dans la forêt d’Orient. Et lors de l’ouverture de cette porte alors il est possible d’être témoins de bien des phénomènes étranges, insolites et inexpliqués et des témoins affirment lors de l’ouverture de la porte temporelle avoir vu des OVNIs se matérialiser devant eux pour ensuite disparaître dans l’atmosphère.

Il nous conseille le visionnage de la video  «le Grand Secret» qui expose tout cela en détail réalisée par notre partenaire et ami Tyron29 :

http://video.google.com/videoplay?docid=2806438562764315403#

Il est décidé à l’initiative de Françoise Le Louer et de moi même de monter une expédition en Forêt d’Orient en compagnie de Claude Burkel avec notre matériel où nous pourrions avoir de belles surprises et des expériences riches pour nos recherches.

Notre intervenant a procédé également à des expériences devant le public visant à mettre en évidence le fait que les OVNIs mais aussi les Orbes se manifestent à des fréquences données et précises, et ce que nous en voyons soit sur nos photos, soit en «visuel» ne sont très certainement qu’un aspect de cette «réalité qui nous échappe». Nos sens non seulement sont limités mais en ces domaines, ils sont trompeurs. Les expériences de Claude nous mettent en évidence ce fait.

Des partipants de la Taverne de l'Etrange
Des partipants de la Taverne de l'Etrange

Il présente également un détecteur d’orbes ce qui est une première qu’il a réalisé et qui permets de déceler la présence de ces sphères d’énergie dans l’environnement. Mais pour des raisons de discrétion nous n’en dirons pas plus sur son fonctionnement.

Notre conférencier nous fait plusieurs démonstrations passionnantes de courants à haute fréquence d’après les principes découvert par le génie que fut Nicolas Tesla. Le courant alternatif à haute fréquence est propice à l’apparition d’orbes comme nous nous en doutions déjà voici deux ans lors de notre expérience au RDO avec une Bobine de Tesla.

Après ces expériences le restaurant fut couvert d’une forte odeur d’ozone comme il arrive après un orage. Les travaux de Nicolas Tesla sur les hautes fréquences  et des orbes étaient bel et bien présent notamment pris en photo par la petite Maëlle pendant et après l’expérience des hautes fréquences.

Les orbes sont donc sensibles à ces hautes fréquences.

Il y a eu de très nombreuses questions de la part du public à Claude Burkel, qui y a répondu avec ce ton fort chaleureux qui le caractérise et sa passion de coeur pour cet endroit éminemment mystérieux.

Nous avons eu aussi un témoignage de la part d’une personne du public et membre du forum du R.D.O. de l’observation d’un OVNI grand comme le stade de France, à section conique qui fut observée le 1 novembre 1990 lors de la fameuse vague d’observation. A l’époque le témoin était militaire et il montait la garde, il y eu 3 témoins du passage de cet engin gigantesque muni de feux blancs et colorés qui passa à basse altitude dans le plus grand silence. Un témoignage supplémentaire qui sera envoyé à notre partenaire et ami Joël Mesnard avec l’accord du témoin.

Liliane et une amie présente ont fait part de leurs nombreuses photos d’orbes prise par temps sec et chaud en Birmanie, les photos étaient impressionnantes et de toute beauté, et de plus, elle nous montre que la revue Paris Match a publié malgré elle une photo d’orbe magnifique au dessus de la tête d’une vedette. Les orbes s’invitent ainsi peu à peu dans le paysage culturel de notre humanité.

Ensuite une partie du public reste sur place pour participer à une «chasse aux orbes» dans Paris qui fut fructueuse. Détail étrange : les enfants présents ont eu plus d’orbes que les adultes. La petite Maëlle et un petit garçon ont eu un nombre impressionnant d’orbes et même des B.V.I. Françoise Le Louer pour sa part prendra une B.V.I. impressionnante tentaculaire en face d’une villa de la fin du XIXe s. donnant à l’ensemble un aspect plutôt inquiétant. De nombreux orbes à visage seront pris par les participants. Certaines personnes semblent avoir des orbes atitrés par exemple pour ma part j’ai pris à plusieurs reprises et toujours au même endroit sur la droite du champ photographique un magnifique orbe bleu turquoise, pourquoi? cela reste une énigme.  Nous nous sommes quittés aux alentours de 1h du matin non sans avoir fait une belle moisson d’orbes conséquentes.

Le témoin du 1 novembre 1990 nous invite très gentillement à réaliser des enquêtes dans l’Oise sur des sites intéressants.


un orbe a membrane colorée est apparu lors de la démonstration des courants à haute fréquence
un orbe a membrane colorée est apparu lors de la démonstration des courants à haute fréquence

Extrait de la retranscription de la conférence du samedi 22 janvier 2011 de monsieur Claude Burkel sur la Forêt d’Orient, sa porte temporelle, les OVNIs et les orbes :


La conférence commence à 20H00 et se termine à 22H40


Retranscription d’après film :


Les mystères de la forêt d’Orient constituent un ensemble, un arbre gigantesque dont chaque branche est reliée. J’ai fait beaucoup d’enquête concernant les OVNIs cela fait 45 ans que je travaille dessus. J’ai travaillé avec Guy Tarade, Jimmy Guieu et Maurice Chantelain qui travaillait pour les télécommunications de la N.A.S.A. dans les vols Apollo. J’ai travaillé avec Robert Charroux.

J’ai travaillé avec la revue Ouranos et avec LDLN au temps de Raymond Veillith.

Jimmy Guieu a travaillé sur la foret d’Orient, c’est un endroit templier mais qui est également très important au niveau d’une porte sur l’espace temps, position d’orbes et base d’OVNI.

J’ai passé des nuits entières dans la forêt d’Orient à avoir la trouille j’avais à ce moment là rencontré à la suite d’une enquête demandée par Jimmy Guieu dans la revue Ouranos un homme qui était tout à fait particulier qui s’appelait Jacques Rollin. C’est une personne qui à partir de 30 ans avait des absences mentales, sa voix changeait c’était plus le même, il parlait de n’importe quoi et puis à un moment donné il tombait en syncope et quand il se réveillait il ne se souvenait de rien. Sa mère a appelé Jimmy Guieu pour l’aider. Je l’ai rencontré et il est resté treize ans avec moi, il m’a initié, ont est allé dans des zones incroyables. Je peux vous certifier qu’il m’a laissé des écritures qui sont des fois très bizarres indéchiffrables, et des enregistrements de lui où il parle de l’Île de Pâques, etc. Il est mort en 1987. Nous avons eu aussi un contact très  important avec Francis Mazières où nous avons travaillé sur l’Île de Pâques. Francis Mazières s’occupait des livres à retenir pour les éditions Robert Laffont, dans la collection des «livres noirs».

Il a fait des révélations assez importantes, ils l’ont supprimé moralement car il en savait trop. Il était sur le fil du rasoir.

Donc pour vous dire que la forêt d’Orient est un élément très important, dans la forêt d’Orient il y a des choses que l’ont voit et des choses que l’ont ne voit pas. En 1971/1972 nous y avons été avec une équipe allemande, une société allemande qui travaillait dans les ultrasons, dans la recherche des failles du sous sol. Ont faisait des chambres à écho et ont enregistré des fréquences. Nous avons entendu des bruits de machinerie à l’intérieur du sous sol. Cette forêt d’Orient à une particularité qui est importante et que l’ont peut voir en avion, il y a un endroit qui s’appelle «les arbres chauds» quand ont se trouve dans cette forêt en cet endroit, la température n’est pas la même, dans un cercle de deux kilomètres de diamètres il y a une baisse de température. Lorsqu’il neige ont peut voir en avion ce cercle formé par cette différence de température.

Ont en a déduit que c’était des émanations par rémanence de chaleur qui se trouvait à l’intérieur du sol.

Le Lac d’Orient a  été agrandi pour la centrale nucléaire à proximité. Certains endroits sont à sec et ont ne plus accéder.

Il est interdit aux avions de survoler cette zone à cause de ce qu’il y a en dessous.

J’ai fait des recherches et j’ai découvert qu’il y a une porte qui s’ouvre en cet endroit, elle s’ouvre le 19 janvier à 22H12 de chaque année par rapport à la position des étoiles et de l’inclinaison de la Terre.  

La semaine dernière, mercredi 19 janvier  une équipe était présente sur place et ils ont vu des lumières dans le lac, mais hélas aucun d’eux n’avaient un appareil photo pour prendre ses lumières sous marines qui se déplaçaient dans le lac et qui étaient bien visibles.

Les orbes dans la forêt d’Orient  :

Je vous parlerai après du volume des orbes.

Sur les orbes il y a des choses qui sont importantes à savoir.

Vous avez ici un stromboscope c’est un appareil qui fait voir des     que l’oeil humain ne voit pas, l’oeil humain est situé en principe situé à 50 périodes seconde au-delà ont ne le voit pas. Ce stromboscope fait 4000 fréquences minutes il a fallu que je trouve cet appareil en Hollande car en France ont n’en trouve pas.

Vous avez un ventilateur qui tourne à 2600 tours minutes vous pouvez remarquez que vous pouvez voir la lampe derrière mais pas les pales, nous allons arrivé maintenant à fréquence de la lampe.

Donc ici vous voyez à 2600 tours minutes, en avant et en arrière, et là ont peut voir des lettres et la lumière qui est derrière, alors quand il est arrêté ont ne voit pas lumière qui est derrière. Vous avez deux éléments en superposition que vous voyait en même temps. Nous allons doublez sa vitesse regardez bien les lettres, ont voit double maintenant, donc vous pouvez voir deux choses distinctes. Je vais prendre ce modèle avec les couleurs, et vous allez voir que l’ont voit encore mieux pour cette démonstration ce phénomène de superposition.

Il y a deux bleus, deux blancs, par contre si je reviens à sa vitesse d’origine nous allons passer à une couleur unique.   

Cela démontre que lorsque nous voyons des OVNIs, il y en a peut être plus qu’un, deux, plus, pour les orbes c’est pareil. Dans la forêt d’Orient j’ai vu des orbes bougés.

Lorsque l’on photographie un orbe il faut que l’APN soit au minimum sur 1/400 millième, c a d 1 millième divisé par 400 au 1/400 millième vous pouvez le voir. Par contre si vous voulez le voir avec un appareil comme cela, 400 x 60 cela fait 24 000 fréquences minutes.
Et là vous verrez des orbes en mouvement.

Donc le minimum des APN c’est 1/400e de secondes, donc l’oeil ne peut pas le voir, la camera à la rigueur peuvent les voir, mais les APN les prendront sans peine avec ce réglage.

Pour les voir en mouvement il faut cet équipement. Ce matériel complet vaut 750 euros, il est à l’origine conçu pour l’industrie aéronautique pour surveiller l’état des pales de réacteurs. Avec une camera et l’équipement présent vous les verrez.

Les orbes vont très vite et les orbes ont un volume. Par contre c’est un volume d’énergie pur potentiel, c’est transparent, pour voir le volume.

Quand ont voit des OVNI ont dit qu’ils changent de couleur, avec cet appareil vous faites apparaître la couleur en fonction de la fréquence, bleu, vert, rouge, etc. Ce sont des éléments physiques que l’oeil humain ne voit pas. Tout est fréquence.



Dîner-débat orbologique du vendredi 27 janvier 2012

CONTACTES ET ABDUCTES

Des années 1950 à nos jours

par Elisabeth de Caligny

Affiche officielle de la conférence DR
Affiche officielle de la conférence DR

Ce nouveau dîner-débat fut passionnant. Elisabeth qui est l'auteur de nombreux articles ufologiques sous un nom de plume, nous a parfaitement bien expliqué la différence entre les "contactés" des années 1950 comme Georges Adamski, Howard Menger, etc. et les abductées comme Betty et Barney Hills, Stan Romanek où encore Betty Andreasson. Les cas ont été exposés en détail et certains dossiers comme celui controversé de Romanek sont mêmes effrayants par la réalité étrange qu'ils dévoilent.

 

Un point commun entre les contactés et les abductés, dans les deux cas, il y a souvent délivrance de messages de style pacifique ou prophétique, dénonçant l'usage de l'énergie et de la bombe nucléaire par l'homme. Ce pont entre des affaires qui ne se ressemblent pas du tout est troublant.

 

Rappelons que les Contactés étaient des "volontaires" allant au devant des extra-terrestres présumés pour faire qui des voyages en soucoupe volante sur la Lune, qui des visites dans des bases vénusiennes extra-terrestres. Alors que les abductés sont des victimes qui n'ont rien demandés et qui vivent un véritable trauma pour la plupart d'entre eux.

 

Cette différence exploré en détail lors de la conférence fut très enrichissante. La salle était emplie d'orbes qui appararuent sur de nombreuses photographies prises sur place.

 

 


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