LE GRAND WAMPIRE GALACTIQUE

Par Claude Burkel

Mars vu par l'astronomie moderne et à droite par l'astronomie Shiapparelli
Mars vu par l'astronomie moderne et à droite par l'astronomie Shiapparelli

On le nomme « The Great Galactic Ghoul » (le Grand Wampire Galactique). C’est une région voisine de Mars, où plusieurs vaisseaux et satellites  américains et russes  ont curieusement fait naufrage.

L’expression a été forgée par les chercheurs de la N.A.S.A. et adoptée d’emblée par les milieux  américains de l’aérospatiale.

 

La passe du mal chance, cette fois, a piégé l’observatoire américain « Viking » qui doit chercher des traces de vie sur le sol de Mars. Justement, c’est un fourneau qui devait chauffer des échantillons de sol martien qui a été définitivement mis hors service .

 

De la sorte, on ne pourra pas obtenir les indications espérées, sur les traces éventuelles de la vie martienne. Depuis les premiers lancements de satellites vers la planète Mars jusqu'à l’année 2006, il y a eu environ 14 appareils qui ont eu de gros problèmes par rapport aux autres lancements vers d’autres planètes du système solaire ?

 

« Mariner 7 » fut la première victime de la « Ghoul » ; ses batteries explosèrent. Le vaisseau automatique n’envoya que fort peu d’information sur « Mars ». Ce premier incident remonte à 1969. Les deux victimes suivantes furent respectivement un observatoire russe de la classe des « sondes » planétaire, puis un an plus tard un deuxième engin Russe destiné à se mettre en orbite autour de la planète Mars.

 

Les Américains ont laissé dans la zone des « trépassés » martiens  5 autres véhicules interplanétaires. Voilà tout de même de quoi inquiéter même les plus indifférents.

 

Quelle est la nature de cette « poche » qui semble attirer irrésistiblement les engins les plus perfectionnés que nous envoyons à destination de la planète Mars, et qui nous empêche ainsi d’explorer cette planète ?

 

Est-ce l’effet du seul hasard ? Ce n’est évidemment pas exclu. Rappelons-nous la mission du Mariners américain qui fut aveugle pendant plus de trois mois par un formidable nuage jaune surgi dans la haute atmosphère martienne. On ne trouve l’impossibilité totale de filmer quoi que ce soit, tant que cet écran se maintint en place.

 

Par la suite, le sol de Mars révéla des détails tout à fait inattendu tels que des vallées profondes de cours d’eau anciens, des deltas ressemblant à ceux de notre Terre  et à nos grands fleuves. Les photos des sondes de 2005 confirment d’une manière plus détaillées  les traces d’eau en surface, mais ceci reste évidemment encore dans les secrets de la N.A.S.A. !


 

Cirque martien avec glace - NASA
Cirque martien avec glace - NASA

A maintes reprises, Mars a intrigué les hommes depuis toujours. Schiaparelli y voit des canaux et bien d’autres Astronomes également .Il y a déjà plus de 50 ans, le Soviétique Chklowski, éminent radioastronome, publia un étonnant  commentaire sur le comportement des satellites de Mars : PHOBOS et DEIMOS .

 

Les mouvements de ces satellites, leur masse, les effets gravitationnels de la planète Mars sur ces deux lunes : tout cela fourmille d’anomalies, et incite Igor Chklowski  à supposer que les satellites Phobos et Deimos ne sont pas naturels, cette idée a été reprise par de nombreux scientifiques astronomes au cours des années suivantes. La N.A.S.A. a réalisée des photos qui pourraient prouver cette éventualité, non diffuser dans le public. Ils se comportent  purement et simplement comme des satellites artificiels creux et légers ! L’un tourne en rétrograde par rapport à la planète, c'est-à-dire dans sens contraire de rotation de Mars, se qui est illogique.

 

Cela signifie bien que l’on ne peut rejeter l’idée  d’une certaine coexistence éventuelle, avec d’autres intelligences, dans le vaste univers.

 

Est-ce à dire que ces anomalies des naufrages de 14 véhicules interplanétaires, dans cette même région du « Great Galactic Ghoul » soient de toute évidence organisé par des êtres pensants ? 

 

Depuis les 10 dernières années, tout semble rentrer dans l’ordre,  nos amis ont dû mettre à l’abri de notre vue, tout leur matériel.

Je me garderai d’affirmer cela : je constate simplement qu’une défense intelligente des accès à la planète Mars n’aurait pas procédé autrement ? Action délibérée ?

Les informations recueillies sur l’ensemble de la planète Mars permettent, dans l’état actuel  de notre interprétation, d’éliminer l’hypothèse  d’une vie martienne intelligente de surface. Toute la question est de savoir si mon interprétation  est bonne ou non.

 

 

D’autre régions de l’espace interplanétaire, au sein même de notre système solaire, présentent quelques étranges singularités. Ce sont par exemple ces fameux « points lagrangiens », ainsi appelés, par le savant français  Lagrange qui fut le premier à en supposer l’existence, par le seul raisonnement, mathématique.

 

 

Ce sont des points situés dans le cadre du couple Terre-Lune, où l’attraction gravitationnelle de celui-ci s’équilibre. Si un véhicule est placé à une vitesse nulle, l’un des points lagrangiens reste en équilibre entre la Terre et la Lune.

Il ne sera pas nécessaire de dépenser de l’énergie pour opérer des rajustements de position : le véhicule ou l’habitat interplanétaire restera tranquillement dans cette sorte de marais du cosmos.

La condition : arriver à une vitesse zéro semblait paradoxale. Si un objet vient dans ce marais gravitationnel, c’est  qu’il n’y était pas précédemment. Il s’en est donc approché avec une certaine allure, fût-elle infime, mais vitesse tout de même ; qui sera suffisante pour l’en faire sortir.

Un astronome  polonais a constaté que des cailloux sont immobilisés dans cette zone, pendant l’époque des vols habités vers la Lune, la N.A.S.A. avait  pris des précautions à ce sujet.

 

 

 

Comment ces météorites sont-elles venues là ?

 

Pourquoi y sont-elles demeurées ?

 

Encore une énigme.

 

 

On n’en finit pas, à vrai dire, d’additionner les mystères du proche univers.

 

 

                                                              

                                                                   Claude  BURKEL