LES RAPPORTS SCIENTIFIQUES DU RESEAU NATIONAL DES ORBES CLASSES PAR ANNEES

Moc sous forme de voile cruciforme  - Newdimension DR
Moc sous forme de voile cruciforme - Newdimension DR

RESEAU NATIONAL DES ORBES

 

Rapport d’activité scientifique 2010

 

Travaux dédiés à tous les témoins sur le R.D.O., à tous les I.R.N. et I.N.N. et aux personnes extérieures qui se posent la question : que sont les orbes?

 

ORBES LES ACQUIS DE L’AN 2010

 

Etude scientifique des orbes perspectives 2011

 

 

 

 

L’année passée a été riche en acquis pour les orbes, nous avons pu déterminer trois faits bien établis qui sont importants pour signifier la présence dans notre environnement d’un élément étranger que nous nommons globalement Paramètre Invisible et qui se résouds en plusieurs phénomènes : orbes, serpentoïdes dans toutes leurs déclinaisons (serpentins, etc.), CNI

, MOC

, Spot

, BVI

, croix et coeurs lumineux.

 

Nos recherches au sein du Paramètre Invisible ont porté sur les orbes qui supportent le gros des anomalies observées sur les photographies et/ou en contact visuel par les témoins.

 

Il est établi que 

 

1°) Les orbes existent bien en tant que phénomène de type anomalies en-dehors des poussières, des particules, des éléments divers pouvant polluer l’air ambiant lors d’une prise de vue. Ceci a pu être établi par l’emploi d’APN

 

stéréroscopique permettant de créer des photographies numériques en 3D.

Ainsi il est possible de produire des couples stéréoscopiques permettant d’établir des calculs notamment de parallaxe. Ainsi il est facile de déterminer la poussière et les particules des orbes. Il s’avère aussi que les orbes authentiques déterminés par cette méthode sont peu lumineux et cela en parfaite contradiction avec le quotient du flux lumineux reçu par l’orbe provenant de l’émission du flash et à sa portée. Ceci est déjà une anomalie en soi. Il est donc prouvé qu’il existe bien un phénomène inexpliqué dans l’environnement. (La publication d’une notice technique est en cours et sera publiée sur le site web du RDO).

 

2°) Il est établi que les orbes n’ont aucun reflet sur tout type de surface réfléchissante : miroirs, plexiglas, plan d’eau, etc. Ces expériences ont été réalisées avec un indice n de réfraction de l’air normal en milieu fermé (air sec à t=15°c sous la pression atmosphérique normale de p=101 325 Pa). L’expérience a été menée avec un APN stéréoscopiques et aucun des orbes présents situés loin des objectifs n’avait de réflexion dans les 5 miroirs disposés sous différents angles par séquence de prise de vue.

 

Ceci impliquerait que les orbes n’entrent pas dans le cadre des substances pures telles qu’elles existent habituellement sur la terre sous les trois états : solide, liquide et gaz. 

 

3°) Il a été démontré qu’il existe des orbes en milieu liquide en eau douce, l’expérience a été menée dans un endroit domestique et dans un plan d’eau. Les orbes sont apparus sur les photographies prises sous l’eau exactement comme leurs homologues terrestres : forme généralement circulaire avec un léger relief et un nucleus central quelquefois. Sous l’eau il est aisé de différencier les éléments naturels des anomalies : poissons, larves d’insectes, végétaux en décomposition. En milieu domestique l’expérience a été faites dans une eau propre et sans aucune présence de particules aquatiques. Des orbes sont également apparus sur les photos semblables aux autres orbes de surface.

 

 

Conclusion

 

Les orbes ont une réalité qui se distingue des corpuscules qui existent dans l’air ou sous l’eau qui ne semble pas correspondre à l’un des états habituels de la matière. 

 

 

2011 : Perspectives de l’étude scientifique des orbes

 

La photométrie et les orbes

 

 

Cette année l’effort se portera sur la photométrie et les orbes. Voici les objectifs chacun ayant son importance pour aller plus loin dans la compréhension du phénomène des orbes :

 

 

 

 

A déterminer par rapport aux orbes :

 

A) Flux lumineux est une grandeur dérivée du flux énergétique par l’évaluation du rayonnement d’après son action sur un récepteur sélectif dont la sensibilité spectrale est définie par les efficacités lumineuses relatives spectrales normalisées.

 

  1. l’Eclairement lumineux en un point d’une surface est le quotient du flux lumineux reçu par un élément de la surface contenant la direction, par cet élément d’angle solide

 

  1. La luminance lumineuse quotient du flux lumineux quittant, atteignant ou traversant un élément de surface

 

Enfin l’expérience fondamentale pour l’an 2011 : 

 

Mesurer en candela (unité de mesure) si l’oeil humain perçoit une intensité lumineuse provenant des orbes ou de tout autre phénomènes. Cette intensité lumineuse pourrait être imperceptible pour la personne mais bien présente. Ainsi il sera possible de dire si l’orbe émets un rayonnement monocrhomatique (rien à voir avec une seule couleur en peinture) émettant un rayonnement électromagnétique à une longueur d’onde précise. Si cela pouvait être mesuré cela serait une avancée fondamentale dans l’établissement de la réalité des orbes.

 

Pour ce faire est établi un protocole rigoureux prenant en compte toutes les données notamment l’émission du lumière froide du flash par rapport à la mise en évidence du phénomène.

 

 

NOTE :

 

Ces études ne prennent pas en compte les différents aspects que l’ont peut à titre personnel retirer du Paramètre Invisible qui ne sont pas du domaine scientifique.