CE QUE "VOIT" VOTRE APN

Ce que «voit» votre APN :

 

 

Voici les derniers résultats de nos recherches sur les APN sous la direction de Monsieur A.S. Astrophysicien, enseignant-chercheur et correspondant à l’Ecole Polytechnique.

 

 

Pourquoi nous prenons des anomalies sur les photographies numériques? Ce que nous appelons sur le Réseau national Des Orbes le «Paramètre Invisible».

 

Le spectre électromagnétique se décompose respectivement en 

 

Rayons gamma

Rayons X

Ultra Violets

Lumière visible

Infra Rouges

Micro-Ondes

Ondes Radio

 

En tant qu’humains ce que nous voyons est réduit tout en donnant l’illusion d’être très étendu, c’est ce que l’on nomme «la lumière visible» qui se décompose dans différentes couleurs en prenant par exemple un prisme.

 

L’essentiel est donc invisible à nos yeux. Heureusement d’ailleurs, car si nous devions voir  les rayons gamma, les micro ondes, les ondes radio, notre ordinaire serait «impossible», et la Nature à bien fait les choses. Nous serions «saturés» par le reste du spectre électromagnétique.

 

Tout ce qui est invisible et qui est pris en photographie se situent dans des zones du spectre que notre oeil ne perçoit pas ( à quelques exceptions de certains sujets humains et il est probable que les phénomènes soient alors «à cheval» entre deux zones du spectre le temps de quelques instants. Des études restent à faire ici sur les gens qui voient en direct ces choses).

 

Votre APN (Appareil Photo Numérique) peut fonctionner sur deux modes précis pour avoir des chances de capter des éléments présents dans l’invisible.

 

 

1°) Sans flash :

 

 

Le capteur CCD qui équipe votre APN est suffisamment sensible aux Infra Rouge (I.R.) pour prendre sans flash des phénomènes. L’APN couvre alors la zone de la lumière visible au Infra Rouge, voir peut être quelquefois au début des  Micro Ondes). C’est pourquoi des personnes arrivent à prendre des phénomènes sans flash, car la sensibilité du capteur suffit à couvrir le spectre électromagnétique à droite de la lumière visible jusqu’aux limites de l’Infra Rouge.

 

 

2°) Avec flash :

 

L’émission photonique du flash d’un APN l’ouvre à une autre zone du spectre électromagnétique situé à gauche de la lumière visible : c’est la zone des Ultra Violets. Le flash permets alors de prendre des phénomènes curieux qui malgré le flash n’ont aucune réflexion : ce sont des phénomènes situés précisément dans les ultra violet. 

 

 

Lorsque l’on utilise conjointement le flash et les possibilités du capteur CCD, vous couvrez une large zone du spectre électromagnétique allant des Ultra Violets aux Infra Rouges en plus de la lumière visible.

 

 

Conclusion :

 

 

l’APN est une avancée technologique en terme de photographie, mais il est aussi une formidable machine qui est capable de prendre en photographie des éléments totalement invisibles, certains insolites mais naturels : il est par exemple possible avec un APN de prendre en photo du rayonnement cosmique, toute sorte de gaz ionisés filant à des vitesses parfois supersoniques situés dans les IR ou les UV, mais également d’autres éléments problématiques, étranges et exotiques : orbes, CNI, MOC, serpentoïdes, etc.

 

Ce sont des capacités exceptionnelles dont l’exploitation permets une véritable exploration d’un univers insoupçonné.

 

Les orbes se situent à la fois dans les Ultra Violets et les Infra Rouges, ils couvrent donc un large champ du spectre électromagnétique. Les spots qui sont des orbes arrivés en fin de vie en quelque sorte (ce n’est qu’une image) rayonne des micro ondes, donc ils sont aussi dans les Micro Ondes le temps d’un battement d’aile de papillon. (image poétique).

 

C’est donc un phénomène répandu et non rare dans l’invisible, omniprésent.

 

Les CNI (Créatures Non Identifiés, sigle forgé en 2007 en raison de la forte évocation dans l’esprit humain avec des créatures, mais ceci reste subjectif, ce que sont exactement les CNI restent en débat et en recherche) se situent plus dans les Infra Rouge que dans les Ultra Violets (c’est pourquoi il est possible d’en prendre en photographie ou d’en filmer en vidéo sans flash, le capteur CCD suffit à les prendre).

 

Les SPI (Sillages de Plasma Ionisés) sont à la fois dans les U.V. et les I.R. selon leur stade.

 

Les BVI se situent dans les I.R., il est possible d’en prendre sans flash, le capteur CCD suffit largement.

 

 

Les serpentoïdes se situent aux limites des U.V, et peuvent aller aux Rayons Gama, ils semblent posséder des propriétés radio actives typique du Radon. Les serpentoïdes sont par leurs propriétés à classer dans des phénomènes «nocifs» en raison de leur rayonnement radio actif quasiment acquis. Des expériences avec des compteurs Geiger très sensibles seront conduite à ce sujet. (note les serpentoïdes n’ont en définitive aucun rapport avec le vol des insectes, c’est la grande révélation de ces recherches et prospectives scientifiques). Note : les serpentoïdes dont nous parlons ici sont ces phénomènes serpentiformes d’un blanc laiteux éclatant et sans aucune structure sphérique à l’intérieur. C’est ce type là qui rayonne de la radio activité proche ou identique au Radon.

 

Les insectes et les poussières sont en définitives rares sur les photographies, ce que beaucoup prennent pour des poussières et des insectes, sont des émanation physiques très précises, situés dans les zones du spectre éléctromagnétique que vous voyez dans le croquis.

 

 

Faire apparaître volontairement des poussières c’est possible en effet, elles sont alors situées au plan focal, mais ne présente aucune des caractéristiques des orbes réels qui eux sont des sphères d’énergies animés de mouvement de convection thermiques importants.

 

Mais dans l’environnement il en va tout autrement, et au final, nos APN ne sont pas si sensibles que cela aux particules poussiéreuses. C’est un autre acquis de nos recherches et de nos études sur les APN.

 

Le vrai problème, le vrai défi posé aux constructeurs c’est de rendre «aveugle» les APN dans les rayonnements Infra Rouge et Ultra Violets afin que les gens prennent un minimum de phénomènes situés dans ces zones.

 

A cet effet ils ont inventé un filtre qui se place devant le capteur CCD... Malgré ce filtre, vous savez tous que les APN continuent à prendre des phénomènes. Si vous ôtez ce filtre, il devient alors impossible de prendre une photographie «normale» exempte d’orbes ou de CNI. 

 

Nous espérons que cette étude vous permettra de mieux comprendre ce qui se passe avec votre APN qui agit comme un véritable instrument d’exploration des zones invisibles à nos yeux.

 



Adama & Monsieur le Professeur A.S.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

LE MATERIEL PHOTOGRAPHIQUE

Les Appareils Photos Numériques (A.P.N.) sont les instruments indispensables pour la chasse aux orbes et aux autres anomalies. L'APN ne devient plus objet de loisir familial ou de passion pour le chasseur d'images, il devient instrument technique dans les mains de ceux qui étudient les orbes.

 

Connaître les possibilités de son appareil photographique est indispensable pour pouvoir effectuer un tri entre les photos pouvant être expliquées et celles qui ne le seront pas.

 

Mais les argentiques ont aussi leur place dans la recherche de photographies d'orbes, ils permettent d'obtenir la trace physique sur l'émulsion chimique des phénomènes qui pourront être analysées en laboratoire.

 

L'APN permets la mise en évidence des phénomènes ORBES, et ouvre l'investigation. L'argentique à encore sa place pour établir une preuve physique qui ne soit pas virtuelle et exploitable par les scientifiques.

 

L'usage des deux matériels est recommandée pour celui ou celle qui souhaite s'engager dans ces observations de l'invisible.

 

L'argentique sera ici un appoint à utiliser uniquement de temps en temps quand ont souhaitera piéger dans la pellicule des phénomènes, alors que l'APN sera l'instrument principal employé quotidiennement sur le terrain.

 

Cliquez sur les différents onglets pour découvrir les différentes caractéristiques de ces matériels et des conseils sur la technique photographique.

 

 

 

Une astuce économique pour doubler ses archives photographiques

Nous avons plusieurs possibilités de stockage de nos données photographiques :

1°) DVD ou CD

2°) Disque dur de PC ou externe

3°) Clef USB

4°) Disquettes (pratiquement abandonnées de nos jours en raison de capacités insuffisantes de stockage).

 

Le problème que l'ont ne vous dira pas à l'achat, est que ces supports virtuels ont des durées de vie limités. Les CD ou DVD ont des durées de vie entre 5 et 10 ans selon les substrats employés dans la couche où sont gravés vos données.

 

Quand vous acheté des CD ou DVD à graver regardez bien la couleur de leur substrat (verso du disque), elle indique la qualité et la durée dans le temps de l'élément.

 

Substrat bleu : 5 à 7 ans

Substrat argent : 6 à 8 ans

Substrat or : 8 à 10 ans.

 

Pour les clefs USB leur fabrication est robuste, elles résistent aux chocs, peuvent se glisser partout et avoir une grande capacité de stockage. Elles sont insensibles à la poussière.

 

Comme pour les DVD à substrat or la durée de vie d'une clef USB est estimée à 10 ans pour les meilleures qualité. Nous avons constaté qu'une clef USB peut aussi tomber en panne au bout de seulement quelques mois, où de quelques années après l'achat conduisant à la perte totale et dans quelques cas partielles des données stockées.

 

Ces moyens de stockage ne sont pas fait pour durer et c'est un vrai dilemne pour les photographes.

 

Un disque dur externe est une meilleure solution pour le stockage, mais s'il n'est pas entretenu par les opérations habituelles de scan disk ou de defrag, sa durée de vie peut aussi ne pas dépasser 10 ans. Tout dépendra des soins apportés à cet outil, et il faudra donc veiller à ne pas oublier de faire régulièrement sa maintenance exactement comme pour le disque dur dun PC.

 

Il existe une solution alternative de stockage en masse des données, alternative car elles ne pourront pas être utilisées sur PC mais seront préservés pour au moins 25 ans. Cette solution passe par la cassette VHS et un magnétoscope comme nous allons le voir.

 

En France et dans le monde, il reste encore de nombreux magnétoscopes en service et ce malgré l'apparition des magnétoscopes numériques à disque dur permettant de graver en direct des émissions de télévision ou des films.

 

L'avantage d'une VHS est qu'elle ne bougera pas sauf si elle est soumise à des rayonnements électromagnétique où à un champ magnétique. Souvent des films sur VHS qui n'ont pas été vu et qui ont été enregistré voici 20 ans gardent encore une image très correcte. A échelle chronologique équivalente un CD ou un DVD que l'ont a gravé aurait rendu depuis bien longtemps l'âme.

 

Voici donc un "truc" de photographe qui vous permettra de garder vos documents "au kilomètre" sur un support ancien mais plus fiable dans le temps que nos supports modernes.

 

 

 

Etape n°1

Vous avez visionné vos photos
sur un PC ou un téléviseur et souhaitez
maintenant les conserver
sur une cassette vidéo : c’est possible !

 

Pour cela, vous allez également avoir besoin d’un câble vidéo afin
de connecter l’appareil photo au magnétoscope. Le signal vidéo qui
transite dans ce cordon est à la norme PAL ; assurez-vous donc
que le magnétoscope est à la norme PAL/Secam. Cette information
est généralement inscrite sur la façade de l’appareil. Si tel n’est pas
le cas, il faut consulter le manuel d’utilisation du magnétoscope
dans la partie « Caractéristiques de l’appareil ».

Etape n°2

Le magnétoscope possède des entrées caméra en façade : connectez
la fiche RCA dans l’orifice de même couleur et reportez-vous
au manuel d’utilisation du magnétoscope pour sélectionner la
chaîne correspondant à l’entrée caméra. Allumez ensuite le téléviseur
sur la chaîne que vous utilisez habituellement pour regarder
des cassettes vidéo.

Etape n°3

Le magnétoscope ne possède pas d’entrées caméra en façade. Prenez
l’adaptateur RCA Péritel et insérez la fiche RCA dans l’orifice
de couleur identique. Puis, au dos de l’appareil, branchez l’adaptateur
sur la prise référencée Décodeur ou AV2. Reportez-vous à la
notice de l’appareil pour sélectionner la prise décodeur. Le
magnétoscope doit afficher AU2 ou AV2 ou E2 ou EXT2.

Etape n°4

Après avoir effectué le branchement correspondant au type du
magnétoscope, positionnez le sélecteur de l’appareil photo en
mode lecture. Insérez une cassette vierge dans le magnétoscope
: il ne vous reste plus qu’à appuyer sur la touche Enregistrement
et à faire défiler les images, comme vous l’avez fait pour
visionner vos photos sur un téléviseur.

Conclusion

Avec une cassette VHS de 240 minutes vous aurez des possibilités de stockage infiniment supérieure à un CD. Vous pourrez vous constituer des archives photographiques fiables quand à leur durée de vie sur environ 20 ans et plus. C'est une solution alternative aux possibilités de stockage actuelles qui restent toujours mamheureusement sujette à des pannes, et bridés dans un temps proche par rapport au gravage.

 

Si vous décidez de vous constituer des archives photographiques sur support magnétique VHS entreposés les ensuite dans un carton ou un petit meuble, et vous pourrez les retrouver intacts plus de deux décennies après et beaucoup plus dans le temps. La durée de vie d'une bande magnétique si elle n'est pas soumise à des champs magnétiques où au rayonnement solaire peut atteindre plus de 30 ans. Les premières VHS commercialisées et enregistrées en 1979 tournent toujours très bien malgré les années, ce qui n'est pas le cas de nos modernes CD qui au bout de 5 ans peuvent nous réserver de mauvaises surprises.

 

Ces cassettes VHS seront une mémoire sure de vos chasses aux orbes. Tant que notre technologie n'aura pas inventé des supports de stockages à durée de vie plus longue que ce dont nous disposons actuellelement.