Des O.V.N.I. en Côte d'Or

Une enquête de Claude Burkel

Vue de Bucey
Vue de Bucey

Jeudi  11 novembre 1976, dix-huit heures. La voiture de patrouille de la gendarmerie de Châtillon-sur-Seine (Côte-d’Or) après une tournée de routine, s’apprête à regagner son quartier général lorsque le regard du conducteur est attiré par les évolutions, dans le ciel, de trois étranges sphères fortement lumineuses.

Ces sphères sont à haute altitude. L’une est immobile à la verticale de Bruncey.

Les deux autres se dirigent vers le sud-ouest.

Suivie à la jumelle par les représentants de l’ordre la sphère principale, jusqu’alors en sustentation, procède à des sauts de puce de part et d’autre du point fixe représenté, au sol, par le petit bourg de Buncey, en bordure de la forêt de Chatillon.

Puis, brusquement, elle disparaît à grande vitesse en prenant le même cap que les deux autres.

 

LES TROIS SPHERES DE BRUNCEY

 

Ne ressemblant à aucun avion, hélicoptère ou autre appareil volant connu, il faut bien se rendre à l’évidence, comme l’ont fait les gendarmes : les trois « sphères » de Buncey ne sont rien d’autre que des O.V.N.I.

Le plateau de Langres étant d’ailleurs un de leurs lieux de prédilection et Buncey se situant à la lisière nord-ouest de ce plateau.

Ce spectacle insolite, plusieurs personnes y ont assisté.

Tout d’abord une habitante du petit bourg. Madame Perreau, qui a parfaitement suivi le ballet des mystérieux engins et dont le témoignage  concorde parfaitement avec celui des gendarmes.

D’autre part, par Madame Japiot, de Buncey également, garagiste, dont le récit apporte quelques précisions à ces observations.

« Il était environ 18 heures, dit Madame Japiot. Je regardais la télévision.

Soudain mon regard a été attiré au dehors par une lumière insolite, un objet rond lointain, fortement lumineux et semblant se diriger tout droit vers mon habitation. »

 

Durant quelques secondes je n’ai su que penser. Puis l’objet grossit, de plus en plus rapidement.

Il se stabilisa brusquement à une centaine de mètres de chez moi, comme s’il avait voulu atterrir. Il était plus gros qu’une voiture. 

Il ne faisait aucun bruit, se balançait tout doucement,  en émettant des jets lumineux de couleurs différentes sur le sol, où le vert primait nettement.

Je ne peux pas dire que j’ai eu réellement peur. Disons que j’étais angoissé, que je ne me sentais pas dans mon assiette.

Alors j’ai voulu que d’autres profitent de ce que je voyais. 

Je suis sortie prendre ma voiture et, à l’instant même où j’allumais les phares, l’engin s’évanouit, sur place, comme happé par la nuit.

Par la suite j’ai appris que d’autres témoins avaient vu les trois sphères lumineuses, à peu près à la même heure que moi, mais très haut dans le ciel.

Pour mon compte je n’ai vu qu’un seul engin mais croyez-moi, je m’en souviendrai longtemps.

A la suite de ce rapport, je me suis rendu sur place, et j’ai pu de mes propres yeux l’endroit ou l’engin  décrit par Madame Japiot n’a pas vu atterrir au sol pourtant il y avait une cercle noir que les gendarmes n’ont jamais mentionnés malgré ma demande pourquoi ?

 

 

Sources : Enquête personnelle sur place

                 Avec Monsieur Pierre MORET  (1976)

 

 

 

 

                                                 Courton-le-Bas le 20 mars 2008

 

 

 

 

                                                                        Claude BURKEL