DES SCIENTIFIQUES OUZBEKS & RUSSES SE PENCHENT SUR LES ORBES

D'APRES DES DOCUMENTS ET VIDEO DU R.D.O.

PREAMBULE   
 
Nous devons cette étude à notre IRN et ami Aquilonius qui a rencontré ces scientifiques en Ouzbekistan. Ils se sont montrés intéressés par les orbes et ils ont étudiés différentes photographies et vidéo I.R. du Réseau national Des Orbes.   

 

  

 

Leur analyse du phénomène va surprendre plus d'un scientifique français, et quant à nous, même si c'est très rationnel, cela ouvre quand même beaucoup de perspectives quant à la conclusion...   
Cela faisait longtemps que je l'avais promis, mais le contenu étant fortement dérangeant ou bousculant, j'ai pris gentillement le temps de la réflexion...Il s'agissait donc d'une présentation de documents du RDO (photos et films IR) a une physicienne (responsable du centre de recherche nucléaire Ouzbek à Tashkent) d'un astrophysicien enseignant à Tashkent et Parkent et d'un cosmonaute Russe. 

 
 

Je leur ai demandé ce que pouvait bien être ces sphères qui se déplacent dans l'air et qui apparaissaient aussi bien sur les documents du RDO que sur quelques photos que je venais de prendre. 

 

Après une longue concertation entre eux et analyse très détaillée des films IR et des quelques photos fournies, voilà la retranscription quelquefois influencée par mes propres connaissances ou mon vocabulaire que j'ai adapté au mieux. 

Bonne lecture et réflexion !   
 
 

à bientôt. 

 
les discussions  étaient à moitié en Anglais et à moitié en Russe, et le russe retraduit en français par la fille de la physicienne.   
 
Aquilonius   
Réflexion et échange scientifique sur la nature des Orbes, lors de la soirée du 04 Aoùt 2011 en Uzbekistan.   
 
Les échanges étaient à moitié en Anglais et à moitié en Russe, et le russe retraduit en français par la fille de la physicienne.   
 
 
===> La forme d'un gaz la plus économique en énergie pour se structurer en instantanée est la sphère.   
 
 
Quand l'on observe ces sphères sur les photos et sur les films IR, on peu constater qu'il y a comme une couche superficielle de tentions (peau ou coquille) qui maintient en cohérence la forme ou qui délimite le milieu de dedans et de dehors.   

 
Cette couche superficielle et transparente se comporte comme avec un flacon de verre contenant de l'eau .... tout seul dans l'air, les différences de réflexions lumineuses (suivant l'indice de réfraction de la lumière) entre l'air externe et l'eau interne nous permette de voir à l'œil nue directement la forme du flacon. 

Si, à la différence on plonge le même flacon dans un autre récipient transparent rempli de glycérine, oh surprise ! le flacon devient "invisible" parce que l'indice de réfraction de la lumière visible par l'œil humain est identique pour le verre et la glycérine .... en changeant de fréquence lumineuse avec un flash ou de l'IR, on pourra probablement "voir" se dessiner le flacon dans la glycérine. 

 
Regardez cette vidéo pour comprendre les détails et la problématique de l'indice de réfraction de la lumière:    
 
 
Que contient cette forme, il y a incontestablement une différence d'"énergie" ou de masse volumique.    
 

Cette différence est très faible, ce qui va dans le sens d'une grande stabilité de cette forme. si il y avait une grande différence de masse, ces sphères remonteraient à la verticale comme un ballon remplie d'air depuis le fond d'une piscine...

 

 

 

 

Ces masses ou bulles gazeuses qui ont une faible différence de densité avec l'air ambiant ont des mouvements totalement influencés par les sources "énergétiques" ténues du lieu et du moment :

Par exemple dans un lieu fermé : si il y a une source lumineuse, les "bulles" selon leur polarisation du moment se déplaceront de l'ombre vers la lumière ou inversement,.... , ou d'un mur de couleur claire vers un mur de couleur foncé.   
 

Cela peu encore plus probablement se déplacer par convergence thermique (zone ou mur chaud vers zone ou mur plus froid) ce qui doit être le plus courant du fait de l'activité de la couche superficielle de tension qui dégage une très très légère énergie et donc chaleur qui se révèle dans les vidéos tournées en IR. Ces bulles peuvent évidement être influencées par le vent ou les courants d'air, ou, peuvent aussi suivre ou coller à des canaux faiblement électromagnétiques et étroits qui parcourent la surface de la planète dans un peu tout les sens ... (sic...) bref, l'opportunité énergétique de l'instant, guidera, aspirera ou poussera ces bulles. 

 
La granulosité que l'on observe au centre du cercle en instantanée sur une photo avec flash, correspond bien à la réflexion de la lumière sur une couche de tension superficielle en perpétuel mouvement, un peu comme si il y avait une fine couche plasmatique (SIC...)   
 
Il doit être possible d'obtenir, soit directement, soit à travers un prisme, (sic ...)(je ne leur ai montré que des orbes blancs) des couleurs de réflexions différentes en fonction des variations des types de gaz contenus dans les bulles. type de gaz : le même air avec plus ou avec moins d'humidité - de la dilatation d'air ambiant dans un milieu stable (froid - frais - humide et froid - ou pièce fermée - cave) du à la présence d'une ou plusieurs personnes (dégagement de chaleur) ou même dilatation instantanée (par agitation moléculaire) de multitude de micro zone d'air dans toutes les directions du à la réflexion du flash sur des grains d'humidité...   

Restitutions de gaz de décomposition divers et variés depuis le sol, quand le sol est plus chaud que l'air ambiant et surtout quand cet air est très stable (sinon, difficulté à former des bulles identifiables), donc phénomènes plutôt nocturnes. 

 

Ces bulles se forment à la manière d'une goutte d'eau sous un robinet, tant qu'elle n'a pas atteint une certaine taille et différence d'énergie, la force d'Archimède(par différence de densité de gaz) ou un léger vent ne l'arrachera pas de sa source. 

 

La formation de ces bulles venant du sol ou de toute matière est un processus lent (différence importante avec celles crées par un flash sur des grains d'humidité qui sont probablement éphémères) car l'étape de la couche de tension superficielle est mécaniquement délicate à obtenir ... un peu comme pour arriver à faire flotter une aiguille métallique à la surface d'un verre d'eau. 

 

si il y a une agitation du milieu par température ou même fort courant d'air, la couche de tension ne se forme pas ou casse et il y a mélange ou dilution du gaz avec le milieu ambiant (comme pour une bulle de savon). 

 
 
Conclusion de la physicienne :   
 
<< ce phénomène est intéressant car il est proche de l'invisible, mais il n'y a rien de magique...>>